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 |  Sujet: Nalah Joey Sanchez. | Ready for Abduction? Lun 28 Mar - 22:21 | |
| ■ Calu Rivero → NALAH JOEY SANCHEZ  TUMBLR"Essaie de me résister, je trouve ça adorable."IDENTITÉ GÉNÉRALE Nalah Joey Sanchez ◊ 17ans ◊ 16 décembre 1993 à Buenos Aires ◊ Américano-hispanique ◊ Téméraire, Amusante, Sensible, Méprisante, Vulgaire, Manipulatrice & Protectrice ◊ LOUP-GAROU ◊ Feat. Calu Riveiro.
BROKEN SOCIAL SCENE
I need a cigarette and a bad boy!
Come be my soccer ball and get yo ass kicked!!« C’est à Buenos Aires que j’ouvris mes yeux pour la première fois…et je pense les fermer pour la dernière fois à Mystic Falls. »
Le 16 décembre 1993, en Argentine. Ce jour là était censé être le début d’une vie parfaite pour mon père, et surtout pour ma mère…mais quand nos regards se rencontrèrent pour la première fois, Olga Sanchez, dites « la Madre » comprit que c’était que le commencement d’une longue descente aux enfers…et l’enfer c’était moi ! Pourtant, elle ne s’est jamais mal comporté avec moi, bien au contraire et ce depuis ma naissance…tout comme mon père. Ce fût des parents formidables, même si parfois, ma mère avait un comportement assez étrange, qui, était soit trop protecteur, soit très disant mais le plus souvent, elle était douce et très patiente avec moi…quoique…je n’étais pas si mal non plus comme petite fille. Enfaite, on aurait même pu me qualifier de « petite fille modèle », en tout qu’a c’est ce qu’aurait fait La Comtesse de Ségur. Polie, tout le temps de bonne humeur, serviable et polie mais ce n’était pas tout, j’étais avant tout et c’est ce dont mes parents étaient le plus fière, intelligente, studieuse et surtout sportive ! J’ai hérité d’un don pour le sport et ceux depuis que j’ai ouvert les yeux, allez savoir pourquoi (HAHA) bref, j’adorais ça le sport…surtout l’athlétisme, sentir le vent te fouettait le visage et l’impression de voler. Ces deux sensations me motivaient encore plus et me poussait à être la meilleure. Enfin !!! Stoppons cette introduction trop…douce pour moi ! Non sérieux là, il ne manque plus qu’un fond sonore mielleux et là j’explose. !! C’est vrai…mon enfance fut magique ! J’adorais mes parents, j’aimais Buenos Aires, j’aimais ma vie, jusqu’au jour où tout se stoppa, j’avais à peine 12 ans quand je compris que celle-ci n’était qu’un tissu de mensonges, confectionnée par les deux êtres que j’aimais le plus au monde. C’est vrai que mes parents étaient vraiment bizarres parfois. Des conversations un peu trop discrètes pour qu’elles ne soient pas secrète ou bien, cette manie de me protéger des enfants un peu trop turbulents, voir violents, mais je n’y faisais pas attention. Pour moi c’était normale, et tout ça ne me concernait pas, c’est ce que je croyais du moins. « Je peux pas continuer à vivre dans la crainte Sam ! »Mes parents n’avaient surement pas senti que j’étais entrain de descendre, enfaite, j’étais prise d’une insomnie passagère. En entendant ma mère parlait ainsi, je me figeai avant de m’asseoir dans les escaliers et d’épier cette conversation entre elle et mon père. « Pourquoi dans la crainte ? Ce qui m’est arrivé ne sera jamais le cas pour Nalah ! »« & si un jour on s’en prend à elle, tu crois vraiment qu’elle se laissera faire ?! Elle fera comme toi et ma petite fille deviendra un… »
« Je viens te le dire, JAMAIS ce ne sera le cas ! » répéta mon père encore une fois. Ma mère reprit son souffle avant de reprendre, d’un ton plus calme. « J’ai besoin d’en savoir plus, et c’est toi qui va m’informer. Parle-moi des lycanthropes, j’en ai besoin pour protéger notre fille et c’est pour ça que tu dois tout me raconter. »J’ai cru que mon cœur allait exploser sur le coup. Je comprenais rien ! Des lycan quoi ?! Ma mère devenait folle pour demander des choses comme ça à mon père. Pourtant…ça avait l’air d’être très sérieux. Je ne faisais aucun bruit et attendait la réponse de mon père. « Comme tu veux… »C’est alors qu’il commença un discours complètement fou. Plus je l’écoutais, plus j’avais l’impression d’être dans un mauvais film d’horreur. Il aborda le sujet du loup-garou. Oui, cet humain qui a la capacité de se transformer en loup lors des nuits de pleines lunes. Papa…un loup garou ? Une mauvaise blague qu’il était en train de faire, c’est ce que je croyais et pourtant, en écoutant la suite, je compris que ce n’était que la réalité. Il évoqua également les pouvoirs d’un lycanthrope, sa capacité à guérir vite, sa résistance et force, mais aussi l’origine de cette métamorphose, une malédiction aztèque transmise de génération en génération dans la famille Sanchez et qui se déclenchait seulement si la personne concernée tuait quelqu’un...que ce soit par accident ou autre. Ce fut de trop. Je ne voulais pas en savoir plus. J’en avais assez entendu et me rua dans mon lit, me couvrant entièrement avec ma couette avant de mordre mon oreiller, et de hurler de toutes mes forces. Finalement, j’aurais mieux fait si j’étais restée dans ma chambre ce soir là. Oui ! Depuis ce jour là, j’ai changé et ça a tout de suite sauté aux yeux de mes parents, qui n’avaient aucunes explications à cela…tiens donc ! J’étais devenue une adolescente froide, distant et n’accordant ma confiance à personne, même plus à mes parents et c’est à moment là que je compris que cette petite fille modèle n’était qu’une phase que je devais vite stopper. En réalité je suis plutôt têtue, peu souriante et parfois vulgaire…mais surtout, une grande solitaire, une demoiselle qui agit souvent seule, ce qui me rend encore plus froide qu’il n’y parait. Après j’ai gardé quelques une de mes qualités…que j’ai légèrement modifié comme mon côté sportive et bonne joueuse, car j’use aussi de certains de mes charmes et le fait d’être une manipulatrice qui n’hésitera pas à se servir des autres pour mes intérêts et je suis surtout une TRÈS mauvaise perdante, j’accentue sur le très, parce qu’il vaut mieux ne pas être sur son chemin après une défaites et surtout lors de mes multiples crises de colères. J'étais mauvaise, très même, enfin ça dépendait avec qui et surtout de mon humeur et c'est pour ça que je préférais les éviter...tous ! Je n’avais donné aucune explication à mes parents, et je ne le ferai jamais. Ils ne comprenaient pas, ne savaient plus quoi faire…et c’était tant mieux. Seulement un événement changea le cour de mon existence, encore une fois, à la fin, ça me surprend même plus. Pour des raisons « inconnues », mes parents décidèrent de m’envoyer chez d’autres Sanchez, une deuxième version, plus ridés mais tout aussi chiante que la première. A vrai dire, je ne pouvais pas me permettre de dire ça vu que je ne connaissais pas les grands-parents du côté de mon père. Tout ce que je sais, c'est qu'eux, vivent à Mystic Falls, en Virginie, ce qui signifie…LOIN ! Heureusement pour moi, mon père a eut l'intelligence de me parler très souvent anglais, sa langue maternelle ce qui fait de moi une bilingue de renom! J’entame une nouvelle étape de ma vie, et j’espère qu’elle sera plus morbide que la précédente, qui devenait vraiment ennuyeuse ! (PURE IRONIE !) C’est ainsi que s’achève Les Mémoires de la vie passionnante d’une jeune brunette d’Argentine, s’apprêtant à vivre de nouvelles aventures après un départ prématuré…pitié, faites que j’y rencontre des chats qui parlent et des hommes volants, je me sentirais peut-être moins seule qui sait… Enfaite, je blague, mais c’est vraiment pas le moment. Peut-être que je reviendrais écrire une nouvelle fois dans ce cahier…peut-être que finalement, je vais enfin apprécier ma vie ! Je blague encore. NALAH JOEY SANCHEZ PS: Si tu as réussi à chopper ce cahier & surtout à le lire...sache que t'es déjà mort !! Quitte à devenir un toutou poilu, autant le devenir pour une bonne raison!
MAKE YOU FEEL PROUD ?- Spoiler:
’ambiance festive qui régnait dans le lycée disparaissait peu à peu, tout comme les décorations faites au lycée pour l’occasion. Chacun reprenait ses habitudes…quoi que, on ne les avait pas tellement changés pendant les périodes de noël. Dommage que tout cela finissait. Il lui semblait que les fêtes calmaient les mœurs…du moins les siennes surtout. Les cours reprenaient et le petit train-train habituelle de la demoiselle également.
Elle était en ce moment même dans les couloirs, ou plutôt errant dans les couloirs. Ce matin là fut plutôt difficile et assez périlleux, surtout quand on se réveille une demie heure en retard. En continuant sa route dans le couloir, Ellen soupira légèrement en se rappelant de la course contre la montre de ce matin. Elle eut à peine le temps de se préparer et n’avait même pas pris la peine de s’occuper de ses cheveux, déjà qu’elle avait juste eu celui de se changer, même si aller au lycée en jogging ne lui aurait pas déplu, mais ne soyons pas si fou. Une nouvelle année commence, et autant bien la commencer. Son « long » périple dans les couloirs s’arrêta net. La petite blonde ne resta pas longtemps sur place et se dépêcha d’ouvrir la porte qui donnait aux toilettes et de se diriger vers les lavabos, tout en essayant de ne pas regarder les gens autour d’elle, de surtout pas prêter attention aux filles squattant les toilettes. Pas que ça l’a gênait…enfaite si, surtout avec les cheveux qu’elle avait ce matin là…elle imaginait bien à quoi il ressemblait. En se regardant dans le miroir, Ellen ne fit que confirmer ce qu’elle avait imaginé il y a à peine cinq seconde. « Un champ de bataille »… qui se transforma quelques minutes après en une tresse sur le coté, légèrement négligé. De toute façon, c’était juste pour que ce soit passable, le reste, la lycéenne s’en foutait complètement. Après avoir fini cette rapide séance coiffure, elle sortit des toilettes aussi vite qu’elle en était rentrée. Le couloir était déjà bien plus rempli que tout à l’heure. Chacun des lycéens de Mc Kinley allait rejoindre leur salle de classe dans très peu de temps, et la demoiselle allait faire de même. En reprenant sa « route », la jeune fille aperçut deux personnes plutôt distinctes des autres, qu’elle voyait souvent d’ailleurs. Tout ce qu’elle savait sur eux, c’était qu’ils faisaient partie d’une des chorales du lycée. Après, laquelle ? Ou encore…leur noms ? Ça, elle ne voulait pas savoir, les chorales, elle s’en fichait…du moins, c’est ce qu’elle se faisait croire. Non loin derrière eux, il y avait un garçon, on pouvait même deviner qu’il s’agissait d’un sportif si on regardait son blazer. Il arborait une expression plutôt amusée, avec une boisson à la main…une boisson, non enfaite c’était une glace pillée, d’un bleu des plus vif. Le visage doux et serein de la demoiselle changea en peu de temps. Voila encore une chose qu’elle ne comprenait pas.
Pourquoi cette acharnement des sportifs sur les membres de la chorale ? D’accord, dans son ancien lycée, les chorales n’étaient pas appréciées non plus…mais pas de la à persécuter leurs membres. Peut-être que c’est un bien grand mot, mais c’est ce qu’elle constatait. Une étrange tradition entre sportifs, s’amusant comme ils peuvent de ses lycéens qu’on traite souvent de « loosers ». La demoiselle fronça les sourcils…ça lui rappelait trop ce qu’on lui disait…enfin surtout ce que LUI disait… « Ces gens sont des débiles Ellen… ! ». Après ce léger flash-back, la jolie blonde eut une idée…une idée comme elle les aimait. Elle avançait rapidement vers le footballer et fit mine de lui foncer dessus sans avoir fait « exprès. » S’il fallait jouer la niaise…ce n’était pas un problème, loin de là. En face de lui, tout en le fixant, Ellen arborait un léger sourire avant de parler d’une voix plutôt sereine.
« J’espère que t’es pas pressé ? Parce que il y a quelque chose qui m’intrigue chez toi… »
Elle se pencha alors vers son verre au contenu bleu…elle reposa son regard sur le sien, tout en fronçant les sourcils.
« Tu comptes boire ça de si bon matin ? Ou tu as autres chose de prévu pour cette glace pilée ? »
IF YOU DON'T LIKE THE COMPANY 18ans ◊ Prune ◊ Mes Impressions ? VD tout simplement  ◊ I believe in you. ◊ Taux de fréquences : OULA...je vis au jour le jour  ◊ FIN!
Dernière édition par Nalah J. Sanchez le Sam 2 Avr - 21:26, édité 7 fois |
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j'adore ton prénom! 
