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 Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.

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MessageSujet: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptyVen 1 Avr - 20:44

Les voleurs... une plaie qu'on retrouve surtout dans les grandes villes, comme New-York, d'où il vient, avec un taux assez important de criminalité. Dans le métro, au marché, au centre commercial, sur le ferry, ils sont partout et il faut constamment être sur ses gardes. Hey bah imaginez vous donc qu'Aleksander vient de se faire voler à Mystic Falls. Reprenons les faits...

Il est au café, dans la place centrale. Comme beaucoup, il attend qu'on le serve et il lit le journal, le Daily News en l'occurence et il est attablé avec d'autres gens, au comptoir. La fille à côté lit une brochure. Une jolie blonde, typiquement américaine, mais avec un petit plus quand même qui fait en sorte qu'on peut aisément s'intéresser à elle, pour peu qu'on soit comme Alek' et qu'on aime les filles... En tout cas, petit chit chat, on lui sert son café prêt à emporter et le voilà reparti Quelques minutes plus tard, sa publiciste lui demande un numéro, alors il répond "attends, je l'ai dans mon porte-feuille" et en voulant le prendre, il ne le trouve pas. Ça, ça le faisait rager. Les chances de le retrouver étaient minces selon sa conseillère, mais Alek' lui assura qu'il le retrouverait.

La nuit venue, seul chez lui, il traça un rituel qui lui est familier. Versant dans les arts de la nécromancie, Aleksander invoque les cinq ombres du Pentagone, qui partent à la recherche de son porte-feuille pour lui. Se fermant les yeux, en méditation, elles reviennent à lui et les ombres lui font alors part du lieu où se trouve son portefeuille. Elle lui murmure à l'oreille un hôtel et le numéro de la chambre. Il rouvrit alors les yeux et ce dit que le grand méchant loup allait cogner à la porte de la vilaine voleuse.

En quittant son chez lui, il prit sa voiture pour se rendre à l'hôtel illico-presto. Aleksander arborait son veston de cuir habituel. En-dessous, il portait une chemise noir, une paire de pantalon propre noir, des souliers noirs, bref, pas bien difficile de déduire sa couleur préféré... Il vous dirait lui que ça fait surtout ressortir la blondeur de ses cheveux. Sourire en coin, le regard malicieux et attentif, il marchait doucement, s'arrête devant la porte de la chambre et cogne doucement. Aucun doute, c'était bien le bon numéro et jusqu'ici, les ombres ne lui avaient jamais fait défaut. Il patiente pour qu'on lui ouvre, mais si on tarde trop, il cogne de nouveau et de façon un peu plus insistante. Quand enfin on lui ouvre, il aperçoit celle qu'il considère être rien d'autre qu'une voleuse. Il lui fait alors un beau sourire.

-Salut.

Aussitôt, il entre dans la chambre et ferme la porte derrière lui, quitte à bousculer légèrement l'Américaine dans le processus. Après, il reporte son attention sur elle.

-Je ne sais pas si tu te souviens de moi, le gars au café. On s'est rencontré très brièvement et franchement, j'aurais aimé qu'on n'en arrive pas là...

Il se penche alors vers elle et lui murmure à l'oreille, le regard assez vivace, un sourire malicieux sur les lèvres:

-Je sais que mon porte-feuille est quelque part... ici.
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 8:53

KATIE HERZIG - hey na na
Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. 1547p5g

Vole voleur ! Chante, chanteur ! ça ressemble un peu à un exercice pour des enfants de six ans. Comme « choisis le bon métier à la bonne personne », et bien ce serait pour Manahune : voleuse. Alors vole voleuse. On a chacun ses passes temps, quoi que ce n’en était pas un. Disons que c’était une habitude mais pas une habitude comme manger trois amandes chacun matin, mais une habitude comme un métier. Un métier qui ne lui rapporte pas beaucoup personnellement, elle préfère redistribuer l’argent pour les nécessiteux et elle en garde un peu. Dernier vol en date : dans un café de cette ville. Une ville où elle avait déjà laissé d’étranges impressions. Elle était restée un mardi soir dans le parc, allongée sur un banc à regarder les étoiles en écoutant de la musique. Bref.

Peu importe le jour que ce fut, elle était là-bas, avec un bouquin sur comment organiser un voyage d’Amazonie. qu’est-ce que je fous là ? j’aime pas le café. Levant les yeux de son bouquin elle fit la moue puis un haussement d’épaule. oppff c’est pas grave, juste un gâteau Et là près d’elle, un charmant jeun homme le genre à faire craquer tout ce qui bouge. Reposant ses yeux sur sa brochure elle sent son téléphone vibré alors elle répond. D’abord en espagnol puis quelques petits mots en anglais à la fin. Rien de très intéressant juste qu’on remarque la qualité de son espagnol qui semble naturel, mais ce n’est pas de l’espagnol classique. Bref. Elle fait sa petite conversation, prend sa commande et va s’asseoir près de la vitrine. Elle semble innocente, naïve et douce – comme on peut qualifier certaines femmes. Alors que pour Manahune le terme « douce » lui semble toujours étrange. Elle continue de lire encore une bonne demi-heure avant de quitter la petite boutique.

Comme une innocente, une simple jeune femme sans rien de louche. Pourtant, elle était repartit avec un petit plus : un portefeuille. Elle n’avait pas choisi sa victime au hasard, il était aisé. Elle ne vole jamais les autres. Bref. Elle repart comme si tout était normal.

Elle passe le reste de sa journée, ou du moins une grande partie, recroquevillée par terre dans sa chambre d’hôtel. Elle a mal : tellement mal et partout ! Bref, une fin de journée pourrie mais pourtant tristement habituelle. Mais après tant de temps restée ainsi elle arrive à se convaincre qu’il faut faire quelque chose, alors elle se lève et va se doucher. Et comme elle a beaucoup de chance c’est à ce moment-ci que quelqu’un décide de cogner à la porte. Alors qu’elle chantonnait dans sa douche on l’interrompt. Elle s’arrête net, sort à la vas vite de la douche pour enfiler une robe dégradée blanche qui finit rouge. Etrange comme ça, mais… mais ça lui allait parfaitement. Elle était magnifique. Quittant la salle de bain elle attrapa une paire d’escarpins cachés sous le lit. Elle n’eut pas le temps de les mettre.

Elle n’a fait aucun bruit perceptible de l’extérieur. De fait qu’on est jamais prudent d’après elle. Surtout pour le type de problèmes qu’elle peut s’attirer comme cette fois au Texas… mais ça, c’est une autre histoire. Elle s’approcha de la porte et… oups. Il était là : le volé. Elle était obligée de lui ouvrir, il l’avait retrouvé et cela signifiait qu’il était malin car elle n’avait pas rejoint son hôtel directement après sa sortie du café. Et par conséquent il devait être corillace. Elle soupire et ouvre la porte. Les cheveux lâchés encore mouillés, elle y passe sa main. Et hop il passe et ferme la porte. oups. Manahune petit problème mais bon je sais toujours me battre. Mais il est si charmant

Elle se laisse tomber sur le bord du lit sur lequel elle enfile ses escarpins noir vernis. Elle a l’air bien innocente comme ça. Pas de portefeuille en surface. Il y a bien quelques cartes sur une table et quelques feuilles mais pas de portefeuille. Elle se relève. Elle tripotte le collier qu’elle doit toujours porter : un médaillon qui passe de génération à génération et elle avait juré à son arrière grand-mère de ne jamais l’enlevé. Les mystères de la vie. Bref. Il s’approche. Et bien s’il veut jouer comme ça il va être servi. Elle sent son souffle contre sa peau. Elle ferme les yeux quelques petites secondes, elle inspire profondément : elle a le vertige. Elle tourne légèrement la tête pour lui parler dans le creux de l’oreille. « oui effectivement je l’ai. » Elle a une voix douce, mélodieuse et aucun accent américain mais plutôt espagnol. C’est assez original par rapport à l’effet qu’elle laisse, mais ça lui va bien. Elle se dirige vers une petite commode près du lit et en sort le portefeuille. « je suis désolée, je l’ai trouvé et ne sachant trop quoi en faire je l’ai pris. Je voulais aller le déposer à la mairie, mais c’était fermé. » Elle revint vers lui. Rien ne manquait dans le portefeuille. comment tu t’es fait prendre ? c’est pas normal ! « mais comment avez-vous fait pour me trouver ? » Il ne connaissait ni son nom, ni son prénom et en plus ce n’était pas sous Manahune qu’elle était inscrite sur le registre. Sa curiosité était piquée.
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 11:53

C'est drôle, en chemin, Aleksander se disait que s'il mettait la main sur se voleur, puisque rien ne garantissait qu'il soit à la chambre d'hôtel, qu'il lui ferait payer le prix fort de cet affront. Il détestait qu'on le dupe et il avait une certaine fierté, doubler d'un orgueil blindé, alors garde à ceux et celles qui croient qu'on peut s'en prendre à lui en toute impunité. Particulièrement rancunier, il sait être patient dans les pires cas. Ce n'est pas pour rien que son père est décédé dans un accident d'avion et que sa mère est maintenant interné dans une résidence pour les gens déments. Ses deux-là méritaient un sort de se type, rien de moins. Et le voleur, s'il lui mettait la main dessus, il se promettait bien de lui faire passer un mauvais quart d'heure.

Comment être aussi sûr du vol? D'abord, parce qu'il ne perd jamais son portefeuille. Ce n'est simplement pas dans ses habitudes. D'accord... même s'il était perdu, Alek' ne reconnaîtrait pas que c'est de sa faute et préférait toujours l'option du vol. D'autant que dans son porte-feuille, en plus des deux-cents dollars qu'on y trouve, il y a sa carte d'affaire avec son adresse à Mystic Falls. De quoi augmenter la présomption du vol, ou à tout le moins, quelqu'un qui le trouve et qui ne lui rapporte pas.

Être doué d'une intelligence certaine, Aleksander n'est pas aveugle et il voit plus loin que le bout de son nez. Opportuniste, il sait saisir les bonnes occasions quand elles se présentent et il réussit aisément à avoir de la suite dans les idées. Soyez assuré que son intelligence est bien indépendante de ses pouvoirs d'ailleurs. Alors c'est avec les pires intentions qu'il avait cogné à la porte de cette chambre. C'est alors que la blonde d'un peu plus tôt, au café, lui ouvre, habillée d'une belle robe blanche, pas tout à fait à quoi il s'attendait. Son agressivité venait certes de diminuer d'un cran, mais sa malice était toujours bien présente. C'était le moment de jouer, quitte à se prendre au jeu.

Toujours assez certain qu'elle l'avait volé, il lui fait son approche et la jeune femme ne semble pas effrayée, loin de là, et c'est bien tant mieux, parce qu'il ne lui veut aucun mal. Elle confirme qu'elle l'a et il eut un acquiescement de la tête. À la bonheur dans se cas. Il refit connaissance au passage avec l'accent espagnol qu'elle avait. Elle n'avait pas nécessairement des traits latinos, mais elle en avait l'accent. Comme quoi les apparences sont trompeuses, n'est-ce pas? Les yeux aux aguets, un sourire en coin, il la guettait alors qu'elle va chercher son porte-feuille. C'est sa publiciste qui sera contente! La jolie blonde explique qu'elle l'aurait ramené à la mairie si c'était ouvert. Mais oui, bien sûr... Silencieux, il attendit d'avoir son porte-feuille en main avant de parler et la première chose qu'il fit, fut de l'ouvrir et de constater que tout y était encore. Même pas de preuve... il relève les yeux vers elle, comme intrigué tout à coup. Quel genre de voleuse est-ce donc? Il sort alors 100$ sur les 200 dans le porte-feuille.

-Vous ne saviez pas que les gens riches ont du flair? Rien ne nous échappe...

Il tend la poignée de billets à la jolie blonde. Il était d'humeur généreuse tout à coup.

-Tenez... pour vous remerciez de l'avoir bien conservé jusqu'à ce que je le retrouve.


Si elle décline le montant, il hausse des épaules et range des billets. Sinon, elle n'a qu'à les prendre, dans les deux cas, il dit, au moment de ranger les billets, ou bien quand elle pose ses doigts pour les prendre, il les garde en main, comme s'il ne voulait pas lui donner sans qu'elle ne le regarde dans les yeux quand il ajoute:

-Vous devez être une personne très honnête... Trouver un porte-feuille plein et ne pas prendre l'argent... N'empêche, j'aurais eu la curiosité de regarder en voyant que la mairie était fermée et alors, j'aurais vu qu'il y a une carte d'affaire avec l'adresse et le nom du propriétaire du porte-feuille. J'aurais même appelé au numéro. Vous n'êtes pas curieuse?
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 12:34

Un joli visage, un joli corps, un charisme et un caractère complexe. Il est difficile de croire que Manahune soit tout ça dans une même personne. Pourtant cela n’a pas toujours était le cas. Enfant, elle était l’exclue : celle qui passait des heures assise sur un banc à attendre que la pause du déjeuner se termine enfin ! elle était celle aussi qui mangeait et mangeait jusqu’à en avoir mal au ventre. Jusqu’à en être dégoutée. C’était une enfant torturée et c’est devenue une jeune femme torturée et complexe. Elle a appris à se battre, à passer aux travers des regards des autres, de ne plus les écouter, de ne plus être atteinte par leurs paroles censées être blessantes. Les épreuves de la vie et son caractère particulier on fait d’elle une voleuse de qualité et une personne étrange et complexe.

Et les épreuves de la vie lui avaient aussi appris comme réagir, quand mentir et heureusement sa capacité à mentir et à manipuler n’était pas à démontrer. Elle s’était sortie de situations plus ou moins étranges et parfois dangereuses. Ce n’est pas un mec comme lui qui allait lui poser problème, elle essayait de s’en convaincre. Qu’est-ce qu’il pouvait bien lui faire ? pas grand-chose selon elle. Elle enfila ses chaussures, avec une certaine difficulté un sadique ! c’est un sadique qui a créé ses chaussures. Pas étonnant, il a pas à les porter. Elle fit la moue et se redressa. Toute cette histoire commençait vraiment à lui sembler étrange. Il l’avait retrouvé alors qu’elle n’avait laissé aucune trace. Et le fait qu’il se rapproche ainsi d’elle et qu’il soit entré ainsi prouve qu’il n’a pas peur. En même temps rare sont les personnes qui sont effrayés par l’apparence de Manahune et c’est d’ailleurs un avantage. Ils la croient tellement innocente que ça l’amuse, beaucoup ! et à ça s’ajouter qu’il était riche. Son portefeuille le montrait facilement : une manufacture prestigieuse l’a créé, il y a plus de deux cents dollars dedans et une carte. Elle l’attrapa et la passa entre ses doigts vernis de rouge et noir. Elle ne savait pas où c’était, mais à ce moment-là elle s’en fichait un peu puisqu’elle lui avait volé son porte feuille. Mais désormais qu’il était planté devant elle, il était intéressant de se souvenir de cette petite carte. Elle jouera la carte de la nouvelle, en plus c’était la vérité. Elle ne savait absolument pas où se trouvait cet endroit.

Désormais plantée devant lui, sa réaction la soulagea. qu’il est naïf ! et en plus il me propose de l’argent. Quelle belle journée Le problème c’est qu’elle hésite. Accepter de l’argent comme ça cache toujours quelque chose. Et c’est là qu’il ajoute une réplique. Elle lui sourit. « par contre, il y a quelque chose que je vous ai pris. » Elle se dirige vers la table où règne un sacré bazars de carte en tout genre. Elle attrape un petit bout de carton : sa carte de visite. L’attrapant entre ses deux doigts elle se rapproche de lui et lui tant quant à lui, il lui tend plus de cent dollars. « je ne savais pas où vous le déposer malgré cette carte. Quant au numéro, c’est vrai j’aurai pu le faire. Mais … en fait je sais pas pourquoi je n’ai pas appelé. En un sens, ça me semblais étrange d’appeler pour parler d’un portefeuille, il me semblait mieux de l’apporter à la mairie ou bien j’aurai demandé mon chemin pour le rendre en main propre. » Elle fit une petite grimace : une parfaite menteuse. Même si son explication n’était pas forcément des meilleures. Elle avait répondu rapidement sans avoir beaucoup de temps pour réfléchir. Mais le problème n’est pas résolu : prend ou prend pas son argent.

Elle le regarde, droit dans les yeux. « je suis curieuse effectivement, Aleksander, vous êtes russe ? mais je ne sais pas si accepté votre argent est une bonne chose, vous voulez quoi en échange ? mais vous qui parlez de curiosité, comment m’avais-vous trouvée ? » Elle maintient son regard sans faiblir et un sourire s’incrusta, c’était louche qu’il l’est retrouvé.
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 13:09

Aleksander ne cache pas sa richesse et il est loin d'en avoir honte aussi. Toute sa vie, il a baigné dans l'aisance de vivre. Il a toujours eu tout ce qu'il voulait et quand on ne pouvait pas lui offrir, il s'arrangeait bien pour arriver à ses fins. Loin d'avoir de la difficulté avec les relations humaines, il dégage une forte confiance en lui, c'est certain, le sourire facile, le regard vif. Visuel, quand on lui parle, il vous regarde droit dans les yeux et certains ont du mal à supporter son regard, d'autres s'en trouve hypnotisé et il y en a sans doute que ça laisse indifférent. Même le fois d'avoir ce qu'on veut ne lui suffit pas par contre et il est constamment poussé à davantage par sa propre ambition.

Possessif, il n'aime pas trop partager ce qu'il possède. C'est d'ailleurs ce qui l'a emmené ici, du moins, en parti. Récupérer son porte-feuille et réparer le tord qu'on lui avait causé. Sauf que la belle blonde qu'il soupçonne être la voleuse de son porte-feuille se défend bien d'avoir commis un tel geste. D'ailleurs, un peu trop pour que ce ne soit pas suspicieux. Elle prétendait être pétrie des meilleures intentions, à un tel point qu'elle semblait vouloir passer pour une sainte candide, ce qui avait le don de le laisser sceptique. Il connait bien les gens et il est très bien placé pour savoir ce qu'ils peuvent faire, rien que pour sauver leur peau, échapper à des torts et mentir n'est qu'un des nombreux moyens.

Il venait de lui tendre l'argent et elle hésitait à la prendre. Il la fixait des yeux, un semblant d'air reconnaissant. Bientôt, elle repart et il la suit alors des yeux, fait un pas vers elle, avant qu'elle ne revienne avec la carte d'affaire dont il parlait justement. Il manquait donc quelque chose finalement, elle avait changé d'avis même par pensé dirait-on. Elle put alors prétendre qu'elle ne savait pas où se trouvait sa maison, ce qui est vrai si on n'est pas du coin et à l'évidence, elle n'avait pas trop le profil des habitants de Mystic Falls, ne serait-ce que par son accent qui était loin d'être celui des gens de la Virginie, ancien état confédéré. Elle admet ne pas pouvoir expliquer pourquoi elle n'a pas appelé et disait préférer simplement le remettre en main propre. Il avait envie de lui adresser un reproche du genre "tu sais que quand on perd notre porte-feuille, il faut faire annuler toutes nos cartes? Alors appeler si tu le retrouves, c'est la moindre des choses!", mais il s'en garde bien.

-Je vois...

Il avait toujours son argent dans les mains et il vient pour le ranger. Le garder ou le donner lui importait peu et il fronce des sourcils, arrêtant son geste, rangeant son porte-feuille de nouveau dans la poche intérieur de son veston de cuir, avec l'argent toujours dans l'autre main. Elle se demande ce qu'il veut en retour? Il voulait lui donner parce qu'elle a retrouvé son porte-feuille et c'est la "tradition", ou l'usage aux US. Si quelqu'un retrouve votre porte-feuille, vous lui donnez un peu d'argent pour le remercier. Pour ce qui est d'être Russe, cela suscitait chez lui un sourire amusé. Ça faisait beaucoup de questions, il allait choisir celle à laquelle il répond.

-Non, je n'ai rien de russe, 100% américain, milady. Et mon argent, je vous l'offrais juste comme remerciement, mais puisque vous me suggérez d'avoir quelque chose en échange, je demande juste une chose: la vérité. Si vous me dites la vérité, je vous dirai comment j'ai retrouvé mon porte-feuille. Avouez... le porte-feuille n'est pas tombé de ma poche par hasard, n'est-ce pas?


Il n'avait pas l'air de lui en vouloir, il n'avait pas de regard menaçant, au contraire, il semblait détendu, mais son regard était des plus lucides et ne lâchait pas des yeux celui de Manahune. Peut-être qu'il était plus venu chercher la vérité que son porte-feuille, ici, finalement.
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 14:06

Elle a vécu pieds nus dans la rue pendant un moment. Un court moment. Son père les avait abandonné ou plutôt sa mère l’avait fait fuir parce qu’elle avait peur pour sa sécurité. Mais il les a retrouvés et sortit de cette misère qui était devenue leur quotidien. Les temps ont bien changé. Son compte en banque n’est pas rempli, elle en d’ailleurs pas vraiment. C’est compliqué. Mais il lui arrive de côtoyer des lieux mondains où des robes valent des milliers de dollars. Elle a eu des œuvres en main qui touche les milliards. Le fric elle en voit, elle en vole et le redonne. Elle ne veut plus trainer pieds nus dans la rue.

La peur est un sentiment connu, à une époque c’était un sentiment permanant. Mais elle apprit, elle apprit à le cacher et à le diminuer même si parfois il est constant. C’est comme avoir mal quelque part, sauf que là au lieu de trainer une douleur on traine un sentiment. Mais cette peur vous pousse, dans son cas cela la pousse à agir, à faire en sorte que le problème se résolve. Elle a peur mais ne le montre pas comme pour beaucoup de sentiment. Alors peut être que cette fois-ci elle en avait trop fait. Mais elle était fatiguée. Epuisée. Mais comme bien souvent elle ne le montrait pas. En plus, ce n’était pas prévu alors son irruption lui faisait perdre, en un sens, une part de contrôle de situation.

Elle lui rend sa carte de visite. Elle n’a pas peur de le regarder ou du moins elle ne veut pas lui faire part de sa peur, ce serait faiblesse de sa part. Pourtant, elle baisse quelques secondes les yeux vers la carte. Trop le regarder serait sans doute de trop. Ça fait beaucoup de trop pour une même phrase. Mais il se passe beaucoup de chose de trop. Par exemple, elle n’aime pas l’effet qu’il a sur elle. Elle n’aime pas sentir ses mains moites parce qu’il est là, elle n’aime pas sentir cogner son cœur parce qu’il lui plait. Elle n’aime pas, tout cela est de TROP. Ils sont encore plus proches. Trop proche. Un trop de plus. Un trop de trop. Tellement que le mot perd son sens.

Il se contente de répondre par deux simples mots, c’est suspect. qu’est-ce qui me veut ! tout ça lui plait pas. Elle ose lui demander comment il la trouvé. Ça fait peu de temps qu’elle est arrivée. Elle a rencontré peu de personne ou plutôt à parler à peu de personne. Elle n’a donné son prénom à personne pour le moment. Alors comment l’a-t-il trouvé ? cela l’inquiète un peu, mais elle se rassure en se disant qu’elle a déjà vécu pire. Elle n’aime pas la tournure que cette affaire prend. Elle n’aime vraiment pas ça. Elle fronce légèrement les sourcils. et c’est là que « bip bip. » ça se répète trois fois, elle réagit assez vite, c’est juste qu’elle ne trouve plus la source du bruit. Il est caché par les feuilles sur la table. Elle fouille et attrape un bipper. Elle appui sur un bouton et le bip disparaît. Se retournant, dans un souffle, elle lui demande quelques secondes d’attentes. Elle va pour disparaître un instant dans la salle de bain.

Elle réapparait. Le laisser seul n’était pas forcément la meilleure des choses, mais elle le devait. De plus, cela lui fera croire qu’elle a confiance en lui, qu’elle n’a pas de raison de lui mentir puisqu’elle a confiance. Une histoire de psychologie. Elle revient vers lui. Et dans un geste rapide attrape les billets « je ne veux pas de votre argent sauf si c’est pour m’inviter au restaurent. » elle pose sa main sur celle du jeune homme pour la repousser. Un simple contact pourtant c’est étrange. Mais elle ne laisse rien transparaitre. Pour faire diversion, une question sur ses origines.

Ah oui elle n’aime vraiment pas la tournure que ça prend. « vous croyiez que je vous mens ? je viens d’arriver en ville se serait stupide de voler comme ça. » Elle soupire et baisse les yeux comme gêner. Elle ment, elle veut qu’il la croie. Elle relève la tête puis se dirige vers le lit pour s’asseoir. De là, elle continue de le regarder. « alors comment vous m’avez trouvé ? » quelques secondes assise elle se relève pour de nouveau le rejoindre. Quelques centimètres les séparent alors elle s’approche un peu plus. Elle baisse les yeux comme gêner avant de les relever pour les poser sur son visage. Et dans un souffle elle dit « mais c’est pas désagréable de vous voir ici ! » elle lui sourit : un sourire qui illumine son visage et qui lui donne un visage innocent. Alors elle penche légèrement la tête et pose ses lèvres contre les siennes. A force de jouer on fini par se demander où est la vérité et où est le faux ?
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 14:37

Sauver par la cloche comme on dit, la sonnerie de quelque chose comme un bipper sans doute fait dévier son regard ailleurs, par-delà les épaules de la belle blonde à l'accent étranger. Puis, ses yeux repassent à celle qui se dépêche déjà d'aller éteindre la sonnerie de se truc. Intrigué, il l'était encore plus et la voilà qui file à la salle de bain sans répondre à son interrogation. Une belle façon de se défiler, c'était à se demander si elle ne venait pas de déclencher se truc elle-même. En attendant, il s'approche du meuble avec tout les papiers dessus justement et il fouille un peu. C'est à dire qu'il dégage des papiers, y jettent un coup d'œil, tant qu'il n'entend pas la porte et le cliquetis familier d'une poignée de porte qui tourne. Des indices peut-être sur qui elle est, d'où elle vient ou sont goûts pour les brochures touristiques. D'ailleurs, Alek' n'est pas fou, il a bien remarqué que la robe et les escarpins doivent bien valoir une petite fortune, ce qui fait contraste avec la modestie de la chambre d'hôtel dans laquelle il se trouve en se moment. Soupirant, il reporte son attention vers la salle de bain quand elle en ressort et qu'elle revient vers lui plus décidé que jamais, lui arrachant son argent des mains. Il eut un regard sceptique et amusé vers elle, un brin étonné aussi. Après tant d'hésitation, voilà qu'elle se décidait, mais il avait demandé la vérité en échange.

Ce n'est pas tout à fait ce à quoi il eut droit. Il écoute plutôt la belle blonde lui dire qu'elle ne veut pas de son argent, sauf s'il l'invite au restaurant. Là, elle le décontenance un peu. Leurs mains se touchent et de son côté, il n'en fait pas de grand cas. Si vous saviez le nombre de mains qu'il peut serrer dans une journée. Chose certaine, le contact ne fut pas désagréable, elle avait la peau douce, mais la main un peu humide aussi. Était-elle nerveuse? Il la fixe des yeux, ce qui indique qu'il attend toujours un peu plus de réponse à ses questions, après, on verra pour l'invitation au restaurant.

De toute façon, elle ne tarde pas à enchaîner, se défendant bien d'être une voleuse et une menteuse de surcroit. Sauf qu'elle baisse les yeux, gêné et pour lui, cela passe plutôt pour un air de culpabilité. Il glisse un doit sous le menton de la blonde pour qu'elle relève la tête et la regarde. Il se permet alors de la tutoyer.

-Je t'en voudrais pas de m'avoir volé. Mais je n'aime pas qu'on me mente.

Si elle avait peur, il voulait la rassurer qu'en à ses intentions. Elle file alors au lit et elle répète pour la troisième fois la question à laquelle elle n'a toujours pas eu de réponse. Ça semble réellement la frustré, comme un élément qui échappe à sa compréhension. Si elle était bel et bien une demoiselle gentille et pleine de bonne intention, ce soucierait-elle autant du "comment" il a fait pour la retrouver? Il se permettait d'en douter, mais comme on sait, elle était déjà pas mal coupable dans sa tête avant l'heure. Maintenant, il s'amusait avec elle comme avec une proie.

-Tu devrais savoir que ce n'est pas important ça. Comment je retrouve mes affaires, ça me regarde.


Il l'a dit tout à l'heure, il a du flair... De toute façon, la voilà qui se relève et qui se rapproche, va jusqu'à se dire heureuse de le voir. Encore une fois, il eut un air sceptique. Cette fille est aussi belle qu'elle est difficile à suivre... Et la voilà qui pose ses lèvres contre les siennes, comme s'il n'allait pas de surprise en surprise. Elle avait déjà trouvé son talon d'Achille finalement. Il répond au baiser et niche une de ses mains contre le cou de la belle. Bientôt, sa langue brise la barrière de ses lèvres et va retrouver celle de Manahune et approfondir, prolonger le baiser. Après, il la fixe de ses yeux et esquisse un petit sourire.

-Et si on arrêtait avec les questions maintenant, heum?
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 15:58

Des cartes dont deux de l’Amazonie, quelques feuilles sur les démarches administratives. Une photocopie des prix de billets d’avion de différentes compagnies. Un ancien billet de retour pour les Etats-Unis en partance de Grèce. Oui elle revenait de Grèce, selon son billet depuis un mois. C’était en quelque sorte son plan de voyage, son prochain voyage. Et pour le moment elle économisait : à sa manière. Heureusement elle n’avait rien laissé de suspect qui pourrait la trahir. Elle sortit de la sale de bain : lui arracha les billets pour lui rendre quelques secondes plus tard. Et le contact eut lieu. Ses mains humides qu’elle avait lavées pour faire disparaitre cette désagréable moiteur. Mais elle a les mains qui tremblent légèrement. Elle ne se drogue pas. Ne boit pas. Mais elle a un autre secret qui explique ce genre de problème.

Elle joue. Elle joue parce que c’est la seule chose à faire dans ce cas-là. Et puis… et puis elle a envie de s’amuser un peu. Mais parfois en voulant s’amuser trop on se prend le mur au lieu de continuer à rouler à toute allure sur la national : enfin l’idée est là : mais l’expression est à sa manière c'est-à-dire loufoque et étrange. Mais étrangement cette fois-ci ça l’amuse moins. Parce qu’elle est fatiguée et qu’elle a plutôt marre de jouer tout le temps. Mais bon, au moins elle se distrait et ne passe pas autre chose.

Et il semble que lui aussi est envie de jouer ce qui va la pousser à jouer un peu plus fort aussi. Il pose un doigt sous son coup comme s’il était proche et se connaissait depuis longtemps. Et ce geste augmente son envie de jouer. Et il lui dit qu’il ne lui en voudrait pas si elle admet avoir volé. C’est étrange vraiment étrange. Tellement que désormais ça l’amuserait de l’admettre ou alors de lui faire croire que c’est le cas. Un peu dans le même genre que : ils savaient pas qu’on sait qui savent qu’on sait donc ça veut dire qu’on sait qui savent blabla. Le problème c’est que, pour le moment c’était lui qui menné la danse et ça, ça lui plaisait vraiment pas ! bordel comment il m’a trouvé Il veut toujours pas répondre, il ne l’a pas trouvé de la manière la plus légal : flics ? fédéraux ? Il avait pas l’allure de l’un ou l’autre mais on ne sait jamais avec eux. Mais… mais il y a une bonne manière de le découvrir. Ils ont un égo fort et se sentent obligé de toujours porter leur chère carte sur eux. Seul solution, le déshabiller.

En plus, il faut l’admettre, elle n’était pas insensible à son charme. Alors autant être certaine que ce n’est pas un fédéraux mais si s’en était pas un, c’était quoi ? un privée ? un chasseur de prime ? pour le moment elle n’y pensait et sans doute était-ce mieux ainsi parce qu’il est certain qu’elle aurait plus de problème avec quelqu’un de ce genre.

Elle connait une des faiblesses des être humains : le désir ou plutôt le sexe. C’est amusant de voir à quel point les langues se délit une fois la tête sur l’oreiller. C’est fou ! des grands hommes sont tombés avec ce procédé. La jeune femme alors pose ses lèvres contre les siennes et c’est agréable. Cela fait des mois et des mois qu’elle ne s’est pas amusée. Qu’elle ne s’est pas lâchée véritablement. L’opportunité est là, alors autant en profiter. Et puis même si c’est inconnu elle ne voit pas trop ce qui pourrait lui faire : elle sait se battre. Mais surtout à ce moment-ci elle ne pense pas aux risques. Et puis ça se trouve elle n’ira pas jusqu’au bout bien que l’envie soit bien là.

Et il semble plutôt pour. Il lui rend son baiser et va même plus loin. Elle a cette odeur sucrée entre le citron piquant et une fleur inconnue, mais ce n’est pas fort. Et c’est une odeur qui semble imprégné dans sa peau. Sa peau douce, sa main droite vient se poser sur son épaule et c’est seulement avec celle-ci qu’elle lui enlève son manteau. Il frappe le sol aucun bruit suspect : pas d’arme et peut-être pas de carte de flic parce que sinon il y aurait eu un petit bruit de métal. Le jeune homme se retire légèrement et un sourire se dessine sur son visage quand il parle. Un sourire malicieux, on a l’impression que ses yeux pétillent. Elle approche son visage de son oreille « plus de question. » pour le moment Elle laisse tomber ses lèvres sur son coup puis le pousse légèrement pour qu’il atterrisse sur le lit. Elle laisse son visage enfouie dans son coup humant son odeur. Elle frotte ses jambes contre celles du jeune homme. Pas de trace d’armes au niveau des chevilles. Elle fit alors glisser ses main sur son buste avant d’atterrir sur ses hanches : pas de plaque ni d’armes. YAOUH son sourire s’agrandit : c’est pas un flic ! Elle pourrait rire mais ce retient. Désormais la suite lui appartient même si elle serait bien partante pour le bloquer et lui demander comment il la trouver. Mais elle se retient : il finira bien pas l’avouer !
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 16:27

Rien de bien intéressant sur se petit meuble, mais il constate que la demoiselle voyage beaucoup. On dit que ceux qui vagabondent sont des gens qui ont beaucoup de choses à se reprocher, ou bien qui fuit les ennuis. Il s'attarde aussi auprès du billet de la Grèce qu'il met un peu plus en valeur en le tassant avec ses doigts. Était-ce l'accent qu'il entendait? Non, c'était plus latin que grec il lui semble. Après, il reconnait être allé dans beaucoup de pays sur cette Terre, mais la Grèce n'en fait pas parti. En revanche, il a été en Espagne et au Mexique et l'accent de la demoiselle s'en rapproche plus. Pour ce qui est du reste, il ne trouvera pas grand indice en regardant des cartes de l'Amazonie. N'empêche, qu'est-ce qu'une voyageuse invétérée peut bien faire à Mystic Falls, un blède perdu en plein cœur de la Virginie orientale?

Difficile de trouver réponse à des questions quand la fille est à la salle de bain. Elle ne tarde quand même pas à revenir et fouiner n'aura pris que ses quelques secondes. Ils continuent de se tourner autour, de se questionner. Aleksander essaie de la coincer et il sentit même qu'il venait de la tenter en disant qu'elle pouvait le lui dire, parce que ça ne le dérange pas de se faire voler. Elle eut une hésitation, mais finalement, quand elle se relève, ce n'est pas pour lui avouer son crime, mais plutôt, pour reposer cette question qui semble tant la tracasser. C'est que le plan de la demoiselle aurait été réussi sans doute si elle n'avait pas confronté un sorcier versant dans l'art de la magie noire. C'est sûrement la dernière hypothèse qui lui viendrait à l'esprit d'ailleurs.

Il la trouvait jolie, pas vraiment menaçante et si elle avait été un truc comme un vampire, il l'aurait senti et puis, comme ils s'étaient croisés un peu plus tôt dans la journée... Une sorcière? Possible, mais peu probable. D'abord, parce qu'ils sont peu nombreux et qu'ensuite, une sorcière aurait ressenti la présence de ses ombres, sans doute et cela aurait pu provoquer des questions plus dirigées lorsqu'il serait arrivé. Il la concevait tout ce qu'il y a de plus humain, tout autant capable de ruse et de coups tordus que n'importe quel truc surnaturel. Parlant de coup tordu... Il n'avait aucune raison de la repousser et Aleksander a toujours été bien entouré au niveau des filles. Intelligence, richesse, belle apparence, de bons éléments quand même et vous seriez surpris de savoir le nombre de gens superficiels qui marchent sur cette Terre. Ses nuits, même depuis qu'il est à Mystic Falls, ne sont pas toutes faites de solitude, loin de là. Il ne couche pas avec n'importe qui non plus, comprenez le bien, mais dire que Manahune est n'importe qui serait fort quand même. Et puis, la situation a un côté excitant et intriguant, vous ne trouvez pas?

Le baiser prolongé, elle glisse ses mains sous son veston et la voilà qui lui enlève et le manteau tombe au sol. À l'intérieur, il avait son porte-feuille, son Iphone dernier cri aussi. À part ça, son set de clés, il ne faut pas l'oublier. Alors ses certains que ses trucs font un peu de bruit en tombant, mais Alek' est bien loin de s'en soucier en se moment. Peut-être qu'il va passer une soirée agréable finalement. Il va torturer quelqu'un d'une autre façon qu'il ne le concevait au départ... Après, il se dit que si elle lui fait du charme maintenant, c'est pour ne pas se faire prendre et convaincre le jeune homme, à sa façon, de ne pas appeler les policiers ou un truc du genre. Il veut bien prendre ce qu'elle a à lui donner alors.

Il ne sait même pas son nom et les voilà qui arrivent à une entente après se premier baiser. Plus de questions, ça pouvaient bien attendre après tout, non? Il caresse le dos de la belle tandis qu'elle embrasse son cou et la voilà qui le fait asseoir sur le lit. Il lève alors la tête vers elle, un sourire amusé sur le visage, les yeux emplis de désir. Ah il était bien un homme aussi. Il caressait la nuque de Manhune, l'autre main se porte contre sa taille. Elle prend place sur ses genoux, leurs jambes s'effleurent, bref, ça semble très bien parti. Pour une raison ou pour une autre, elle sourit encore plus, alors lui, il va déposer ses lèvres contre un versant du cou de la belle blonde, y dépose une série de baisers jusqu'au creux de celui-ci et sa main derrière la nuque de la mystérieuse jeune femme passe à la robe et défait si possible la fermeture éclair de sa celle-ci, sinon, il en écarte une bretelle, bref, on voit le chemin qu'il prend. Il vient retrouver les lèvres de la jeune femme, encore plus énergique, décidé et désireux, le baiser n'en est pas moins langoureux. Il semblait avide se soir. Une main vient caresser la cuisse de Manahune, il relève un peu plus le bas de la robe, y glisse sa main. Comment est-ce que tout ça va se poursuivre?
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 17:12

Enfant, elle rêvait de voyager. De voyager dans le monde entier dans les pays les plus riches comme les plus pauvres. Connaitre les différentes coutumes du monde, différentes habitudes. Voir la vie qui évolue de manière différente selon le coin du monde. Elle rêvait de voyager… et elle a put atteindre ce rêve, en parti. Elle a commencé par ceux qu’elle rêvait le plus de voir : l’Italie – pour ses ruines qui ont passé les siècles et leur histoire, l’Irlande – pour ces paysages verdoyant et en relief, la Grèce – pour ses maisons blanches dans la montagne d’où on peut voir la mer bleue azur. Il y a tant d’autres pays qu’elle veut voir. Et puis son rêve ultime, en un sens, c’est d’aller en Amazonie. De voir cette diversité au niveau de la faune et de la flore. Et puis rencontré les villages éloignées, rencontré ces personnes qui n’ont pas subit la mondialisation mais qui commence à en souffrir. Elle voudrait les aider. Mais est-ce vraiment possible, elle ne peut même pas se sauver elle-même.

L’Amazonie est loin. Mais le rêve s’approche. Cette petite ville lui plait plutôt, tranquille – quoi que. Chargé d’histoire peut-être trop d’ailleurs pour que ce soit un lieu vierge de tout problèmes. Et les problèmes se présentaient déjà. Même s’ils ont pris une tournure forte agréable. C’est une joueuse, elle l’assume mais ne le dit. Elle manipule sans que les gens s’en rendent compte la plupart du temps. Et elle manipule la plupart du temps c’est elle qu’elle fait souffrir au bout du compte. Une nature autodestructrice qu’elle cultive depuis sa prime jeunesse. Et ça l’énerve.

C’est amusant de voir comment une situation qui semblait catastrophique peut finir aussi agréable ou du moins peut le devenir. Et Manahune fait tout pour que ça le devienne. Elle prend les choses en main comme le dit l’expression. Un nouveau trait de caractère : son côté directe pourtant c’est une personne timide – qui pendant un long moment a souffert de ceci. Mais désormais comme beaucoup de sentiments, elle a réussit à le modifier. Par exemple, l’adolescente qu’elle était n’aurait jamais osé suivre ses pulsions malgré sa grande envie. Mais elle était adulte et avait évolué. Alors ils se retrouvaient l’un contre l’autre sur le lit.

En un sens, elle mélangeait plaisir et sécurité. Ce qui passait pour des gestes de tendresse, de désir était à la fois des gestes de sécurités, des vérifications. Des vérifications qui la soulagèrent. Alors elle décida d’en profiter pour le moment. Des baisers, des caresses s’échangent. Ça fait tellement longtemps qu’elle n’a pas senti la présence de quelqu’un contre elle. Elle aime ce contact, sentir la peau, le souffle de ce jeune homme. Elle aime sentir ses mains glissées sur sa peau. Ces gestes paraissent simples et ils l’étaient sans doute mais elle en retirait un grand plaisir.

Elle laissa trainer ses lèvres sur le coin de sa bouche pour continuer à déposer des baisers tout au long de son menton pour finir dans son coup. Et apparemment cela ne lui déplaisait pas bien au contraire. Douée ? plutôt. Elle déboutonna les premiers boutons de son chemisier et laissa glisser ses doigts sur son torse tout en faisant le chemin arrière avec ses lèvres pour retourner sur sa bouche. Il commençait à lui enlever sa robe laissant apparaitre un peu plus s peau pale pareille à de la neige. Quelques grains de beautés parsemés et une cicatrice près de son sein droit recouvert d’un soutien-gorge noir. Elle sentit sa main courir sur ses jambes. Elle serra ses lèvres : pour retenir un soupir de plaisir ? non, pour retenir un sourire.

Elle posa sa main sur sa joue avant de faire descendre son visage sur le torse du jeune homme ainsi que sa main. De son autre main elle agrippa la main qu’il faisait glisser sur ses cuisses. Et là. Là elle se redressa. Elle voulait mener ? oui et non. Sur son visage s’inscrit un sourire, un grand sourire, malicieux. Elle se baissa pour l’embrasser et elle se redressa de nouveau pour finir par quitter le lit. « oh c’aurait été trop simple ! » et puis quoi encore ? Comme si elle allait coucher avec lui comme ça. Non ! c’est bien mieux de le faire tourner en rond.
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 17:41

Il aurait dû s'en douter, c'était bien trop facile, mais à la fois, si agréable, pourquoi ne pas se laisser tenter? Sa confiance s'affichait même dans un moment plus intime. Ses gestes n'étaient pas vraiment évident, il était plutôt sûr de lui, peut-être même trop certaines vous diraient, mais pourtant, on ne pouvait pas dire qu'il ne faisait pas preuve de délicatesse non plus. Il y a aller en douceur, laisser à sa partenaire le soin de s'habituer à lui, à sa présence et de son côté, il tâtait tout autant le terrain, se plaisait à caresser la peau de la jeune femme, à la réchauffer, à l'embrasser et tout ça, rien que pour le plaisir. Même Narcisse n'aurait pas dit non à ça.

Elle se permet de défaire sa chemise noire, laissant apparaître ainsi son torse avec deux détails non négligeable, d'abord, le collier avec le pendentif noir qu'il porte, sorte d'amulette, qui, comme celui que porte la jolie blonde, a aussi une signification bien particulière. Ensuite, il peut voir aussi son premier tatouage, celui de la croix sur son torse, au pied du quel, on peut lire une poignée de chiffre. Pas vraiment le temps de s'attarder sur les détails de toute façon, lui aussi la déshabille un peu plus, dévoile un corps prometteur et le désir ne s'en fait alors que plus sentir. Tandis qu'elle bécote son corps, il effleure sa cuisse, ça, on le sait déjà, mais une main se pose aussi contre le haut de la poitrine de la jeune femme, effleurant cet espèce de médaillon qu'elle porte, la froideur de l'objet métallique contrastant avec la douceur et la chaleur de sa peau. Sa main ne s'y attarde d'ailleurs pas bien bien longtemps.

Il était désireux d'aller plus loin et on pouvait aisément le sentir. Il n'avait pas d'appréhension de son côté, ni l'ombre d'un geste de recul. Il vient pour l'embrasser et elle évite soigneusement ses lèvres, dirige ses mains ailleurs. Il eut un mince sourire, interprétant la chose comme une sorte de jeu, mais quand elle se relève, il est surpris et vexé. Ah non pas ça... Déjà, il laissait échapper un soupire. Une allumeuse... en plus d'être déjà une menteuse et une voleuse, ça lui faisait déjà un beau pedigree à celle-là. Qui se ressemble s'assemble dit-on aussi... Au moins, il eut droit à un baiser digne de se nom avant de la voir lui glisser entre les doigts et se relever du lit. Dès lors, il se redresse et s'appuie à l'aide de ses mains, les bras chaque côté du corps, un peu arqué vers l'arrière, il la suivait des yeux.

-J'aurais dû m'en douter... Je te rappelle que c'est toi qui m'a embrassé la première.

Aleksander n'était pas très content et elle n'a aucune idée à quel point elle joue avec le feu. Il n'ira pas piquer une crise et tout compromettre pour si peu, mais quand même, elle commence vraiment à l'agacer. Si c'est un repas au restaurant qu'elle veut, avec les paillettes et les jolies robes, il peut lui organiser un véritable festival oui. Il renifle un peu, sorte de geste qui cache un certain degré de... nervosité on va dire. Il se passe une main dans les cheveux ensuite.

-Si c'est compliqué, je peux te rendre ça simple et m'en aller aussi. Et aller dire à la police qu'il y a une immigrante illégale à Mystic Falls.

Peut-être qu'elle a un petit copain, ou pire encore, des principes. Peut-être que c'est une vierge en train de devenir maboule, ça, ce serait le gros lot. En tout cas, de son côté, il ne va pas se mettre à genou pour une fille. Il peut en avoir qui mange dans sa main oui, ah! Ce n'est pas elle qui va le rendre dingue et qui va le faire supplier de passer un beau moment. Quand il aura marre des complexes de madame, il s'en ira et puis basta. Ce n'est pas lui qui a embrassé la demoiselle le premier, il sait très bien qui a parti le bal. Du coup, il fait quand même un coup de bluff.
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 18:13

elle aurait voulu continuer. Elle aurait aimé continuer. Elle voulait continuer. Mais son goût pour le jeu était trop addictif. Par conséquence il fallait qu’elle joue. Coucher ainsi aurait été trop simple. Bien trop simple. Et si c’était arrivé sans doute cela aurait été moins bien que s’ils attendaient ou du moins qu’elle le fasse marcher. C’est bien connu ; plus on joue plus le désir monte et il parait que plus il y a de désir mieux le plaisir est. Et puis, c’est dans l’attente que l’on construit le plaisir aussi. Puis, il faut bien l’admettre, elle avait un peu peur d’être déçue. Après tout, ça se trouve c’est un amant de qualité moyenne et elle ne se gênerait pas pour le faire rager avec un pic à ce sujet. Et puis si c’était arrivé cela aurait été trop facile de plus, cela aurait pu être lui qui arrête tout.

Et ce fut bien difficile d’arrêter. Elle en avait envie, vraiment très envie. Elle avait envie et besoin de sentir cette présence. Elle était bien partante pour rester allongée près de lui, entendre son souffle et son corps battre tout en lui adressant quelques caresses. Et pourtant ils ne se connaissent pas. Et c’était loin de déranger Manahune c’était même peut-être une qualité parce que, quand on connait quelqu’un tout est plus compliqué. Elle n’aime pas se prendre la tête pour des problèmes relationnels ce qui est paradoxale vu son besoin de jouer avec les autres. Un paradoxe de plus à lui ajouter, on n’est pas à un près.

Alors, elle continua quelques instants les gestes tendres. Elle était plutôt entrepreneuse. Si elle avait eu l’opportunité elle l’aurait plaqué contre un mur. Mais c’est elle aussi qui a tout arrêter et ce de manière à le laisser d’avantage sur sa fin. Elle aurait vraiment bien voulu continuer, vraiment. Son cœur en témoignait décidant d’augmenter son rythme à mesure que les caresses augmentés. Mais. Mais quelque chose l’intrigua. Deux tatouages et un collier. Un collier qui ressemblait au sien. Il a des réponses ! il a des réponses ! Et ces chiffres, pourquoi ces chiffres. Elle aussi avait son lot de surprise : sa cicatrice, son tatouage à l’intérieur de son bras un simple mot en espagnol : esperanza.

Il était pas flic, mais il a des chiffres sur le corps. Il est quoi ? avec en plus un collier qui ressemble au sien ? qui est-il ? Et c’est dans un geste souple et semblant naturel qu’elle quitte le lit. Sa robe tombe a terre. Ce qu’elle aurait voulu éviter, mais bon ce qui est fait et fait. Elle se sent plutôt gênée, mais le cache. Sa peau est donc blanche à chaque centimètres et quelques grains de beauté la parsemé. Et puis elle a une petite tâche au niveau du haut de sa cuisse. heureusement que j’avais fini de mettre mes sous-vêtements avant qu’il arrive. elle se sent plutôt idiote comme ça. Elle ne sait pas trop comment se rhabiller sans que cela soit ridicule. Alors, elle se contente de faire un pas et d’attraper sa robe. Pendant ce temps il parle. Elle ne e regarde même pas. Remettant sa robe elle finit par se gratter l’épaule.

Ah qu’il est amusant. Sa remarque la fait sourire. « oui c’est bien moi. Je suis quasiment certaine que d’habitude les filles ne » - elle lève les mains pour faire des guillemets avec ses doigts pour les deux prochains mots « te résiste pas. » Et là, il montre sa colère. Elle se pince les lèvres pendant quelques secondes mais c’est trop difficile : elle ne retient plus son rire. Un rire léger. « ouuuh j’ai peur. Je suis en règle, j’ai un visa ! » Il est vraiment étrange et ce genre de remarque n’est pas pour la rassurer mais prouve qu’il est frustré. « je t’ai frustré ? c’est la première fois que a t’arrives ? » Elle lui fait une moue boudeuse ironique. « oh d’habitude toute les filles te sautes dessus et saute dans ton lit ?! » Elle joue avec le feu, mais elle aime le feu. Qu’est-ce qu’il va faire ? lui sauter dessus ? ce serait pas pour lui déplaire…

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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 18:33

De tout les mots qui pouvaient lui être adressé, celui qu'Aleksander déteste le plus était tout simple. Une seule syllabe: "non". Il déteste se faire dire non. Se faire repousser, il ne le prend pas, alors en se moment, il la menace bien de lui faire passer un sale quart d'heure en prison. Visa ou non, on s'en moque, elle est dans un pays paranoïaque au niveau de l'immigration illégale et rien que pour son accent latino du Mexique, ils lui feront passer une nuit en tôle le temps de vérifier si tout ses papiers son vraiment en règle. Ah oui, il lui ferait payer chaque seconde où elle l'agace et joue les pieuse. La voilà qui commence même à se rhabiller. Si elle voulait le narguer, voilà qu'elle semble se refermer en plus. D'accord, elle veut jouer, il va faire de même, mais attention, il ne joue pas pour perdre lui. D'ailleurs, la voilà qui rit et lui jeta un regard où franchement, à la fin, il esquisse un petit sourire, se concentrant plutôt sur d'autres pensées afin de se calmer. Des pensées comme... ce qu'il pourrait lui faire subir, ou pas.

D'abord, elle se moque bien de lui et de ses intentions, mentionnant qu'habituellement, les filles ne lui résistent pas. C'est un fait, règle générale, on ne se fait pas prier avec lui. Il a un corps de dieu grec, il en a connu des femmes, alors forcément, l'expérience se vaut quand même, mais ça, ce serait à mademoiselle de voir par elle-même. Prétentieux? S'il ne l'était pas, il ne serait pas un vrai Castevet. Après quand elle rit, c'est à son tour d'en profiter pour faire quelques bas et de remettre son veston de cuir, sans toutefois l'attacher. Il en avait marre et il en avait assez entendu. Il avait son porte-feuille, il pouvait bien s'en aller. Ah mais il a une petite idée avant, en jetant un regard vers elle, puis vers la porte, tandis qu'elle continue de dire des incongruités.

-Va pas croire que t'es la première fille capricieuse que je rencontre.

Après, il hausse des épaules. Il semblait se rendre finalement et lui donner raison. Il pouvait bien lui laisser remporter se round. Il était prêt à être bon joueur, jusqu'à un certain point.

-Très bien, tu n'es pas une fille facile, d'accord, mais visiblement, je te plais et tu me plais aussi. Alors, ça t'intéresse toujours se repas au restaurant? Où tu veux, quand tu veux. Comme ça, je te remercierai en bon et due forme d'avoir conservé si précieusement mon porte-feuille.

C'est bien elle qui avait parlé d'aller au restaurant tout à l'heure, entre deux bulles qui pouvaient lui passer par la tête à cette fille, alors il revenait avec cette offre. Pas se soir, parce que l'heure du souper (aka dîner...) est bien passé, mais demain un autre jour, et les suivants aussi. Peu lui importait le lieu et la date, il est à Mystic Falls pour se reposer après tout. Du moins, officiellement. Et pour cette nuit? Il va faire un tour en boîte et se trouver une blonde pardi! Et elle a intérêt à s'accrocher celle-là parce qu'il va la fesser... En attendant, il semblait bien prêt à partir, mais dans l'optique possible qu'il se revoit en une autre occasion. Ils pourront ainsi faire connaissance et tout ça.
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MessageSujet: Re: Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé.   Coucou, c'est moi, le mec que tu as volé. EmptySam 2 Avr - 19:13

en espérant que cela te conviennes, sinon je peux modifier
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