Romain Kalender Donovan

✣ IDENTITÉ

► PRÉNOMS ET NOMS : Romain Kalender Donovan
► AGE : 30 ( en apparances ) - 895 ans ( en réalité )
► DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Beligique
► ORIGINES ET NATIONALITÉ : américaines, belges, australiennes, suédoises & nationalité américaine
► CARACTÈRES : manipulateur ; beau parleur ; violent ; ambitieux ; intelligent ; coléreux ; futé ; débrouillard ; égoïste
► ESPÈCE: vampire
► AVATAR: Matt Bomer mais c'est négociable !

✣ l'histoire

Né il y a un sacré bout de temps c'est dans un contexte de pauvreté qu'il a pointé le bout de son nez. Sa famille était paysanne et c'est une enfance difficile qu'il connu. Mais avec les années, aquerant par la même occasion un physique avantageux il parvint à monter les échelons de la société. De plus c'était un beau parleur, une personne maligne. Il se hissa dans la haute société mais c'est aussi ça qui causa sa transformation. Lors d'une nuit consacrée au plaisir charnelle sa partenaire le transformât. Cette dernière le voyait comme son futur compagnon d'éternité, elle en était tombée plus ou mois amoureuse. Mais rapidement, lorsqu'il acquit les règles et précautions que devait prendre son espèce il partit. Il s'évapora en une nuit mais sa chère créatrice le voulait à ses côtés. Pendant plus de deux cents ans il tenta de la fuir. Et puis un jour il apprit sa mort et sa réaction fut "tant mieux". Au fur à mesure des années il a appris à se fondre dans la société tout en continuant de vivre comme un vampire. La plupart du temps dans les hautes sphères de la société. Il visita le monde, en térorisa une partie et en observa l'autre. Pour finir par s'installer à Washington et enfin il arrive en ville pour suivre sa proie.

✣ Le Lien

C'était il y a trois ans : la première fois où Kalender a vu la jeune femme, la jeune humaine. Elle était le centre d'attention, des centaines de personne la regardait. Sur scène cette jeune femme aux airs fragile était calme et son regard semblait posé comme nulle part. Et alors, lorsqu'elle prit son violon tout changea. En une seconde le monde sembla plus calme, plus beau. De cet ingras instruments sortait une mélodie magnifique. Les spectateurs, en grande majorité des riches aimant la musique classique, se passionnait pour cette femme. Un peu avant le début de la représentation certains expliquaient à d'autre que cette jeune femme était un génie. Un génie aveugle, mais un génie du violon. Dès que Kalender vit apparaître Zhora sur scène il y eut quelque chose en lui qui changea. Comme si, soudain son coeur existait de nouveau après des centaines d'années de sommeil. Marissa Zhora Wells était sa nouvelle proie, sa nouvelle obsession, mais ça, elle ne le savait pas.

Six mois plus tard il emménageait dans l'appartement à côté de celui de Zhora. C'est dans ses conditions qu'ils se sont véritablement connus. Il était retourné la voir en représentation, à chaque fois qu'il le pouvait. Il était fasciné, attiré, il essayait de se convaincre que ce n'était qu'une question de temps. Mais il ne parvint pas à se retenir alors il se rapprocha d'elle. C'est le jour même de son emménagement qui lui a parlé. Elle sortait de chez elle avec sa canne blanche, elle était magnifiquement mise
en valeur dans une robe blanche. Et malgré son handicape elle s'en sortait à merveille. vous voulez de l'aide ? Instinctivement elle tourna la tête vers la voix et sur son visage pâle se dessina un sourire. Sa voix ne tarda pas à se faire entendre. c'est gentil mais ça ira. Une voix qu'il trouva superbe. d'accord. désolée si j'ai semblé froide. désolée. bonne journée. Son sourire s'agrandit et doucement elle continua son chemin dans le couloir. Sans le vouloir, elle l’effleura. Un contact d'une seconde, mais un contact tout de même. C'était certain, elle était devenue son obsession. [..] Au fil des mois il l'observa discrètement. Il comprit déduit qu'elle n'avait pas de petit(e) ami(e), qu'elle était indépendante. Et puis un jour elle n'était plus dans son appartement. Il s'enquît mais grâce à ses capacité olfactive il trouva où elle était : à l'hôpital. Il ne pouvait pas lui rendre visite puisqu'elle ne lui avait pas dit où elle était. Pourtant il lui rendit visite, la nuit, elle dormait, du moins il le croyait. A plusieurs reprises elle eut l'impression d'avoir quelqu'un près d'elle, de sentir ce même parfum que celui de son voisin. Mais elle se dit que c'était simplement son esprit qui lui jouait un tour. Et il resta tapit dans l'ombre de sa vie ainsi pendant plusieurs mois.

Ils devinrent plus ou moins amis. A plusieurs reprises Zhora passa des soirées chez lui. Souvent pour discuter de tout et de rien, parfois pour "regarder" des films. Et lors d'une soirée il se permit de lui demander comment elle faisait pour imaginer les visages des autres. Alors elle lui expliqua, elle lui explique que ce qui la marquait plus chez quelqu'un c'est son odeur, sa voix mais aussi pour que se créer la personne dans son esprit elle utilisait le touché. Alors le vieux vampire tendit sa main vers elle. L'attrapant elle remonta à son visage. Et doucement l'aveugle examina les traits du vieux vampire. Sur son visage, un petit sourire comme par politesse. Et lui fit remarqué à quel point il était froid. Cet instant fut l'un des plus importants pour le vieux éternels. Après sa visite il alla chassé, il ne comprenait pas comment une petite humaine pouvait lui faire un tel effet. Il ne voulait pas s'attacher mais à la fois il avait envie d'elle, dans les sens du terme. Et s'il ne pouvait pas l'avoir alors personne ne pouvait l'avoir ! Si un éventuel compagnon était apparu dans sa vie le vampire se serait arrangé pour le virer. Il n'aimait pas non plus lorsqu'une de ses amies tentait de la convaincre de se trouver un copain, même pire de lui présenter un homme. Il était fou de rage dans ces cas-là.

Et puis un jour elle ne revint plus dans son appartement, c'est tout récent. Au pas de sa porte il trouva quelques muffins maison et bout de papier. Ecrit informatiquement cela expliquait qu'elle était partie, qu'on lui avait offert la vue et qu'il fallait désormais commencer une nouvelle vie. Elle le remerciait aussi pour sa compagnie et lui souhaitait une belle vie. Pouf. En un instant elle lui avait échappé et ça, ça il n'aimait pas ! Il n'aimait vraiment pas ! Alors il utilisa sa capacité odorante pour retrouver son exquise odeur. Cela ne prit pas plus d'une heure. Le tout c'était de s'organiser pour partir. Désormais il est en ville, il n'a pas encore osé se présenter à elle. Préférant, une fois de plus, rester tapis dans l'ombre pour l'observer sa chère humaine.

A quand la rencontre ? Quand est-ce qu'elle le verra pour la première ? Que fera-t-elle quand elle sentira qu'il est différent puisque c'est une élue ? Comment réagira-t-il ? Exprimera-t-elle son attirance pour lui ? Admettra-t-il qu'il tient à elle ?