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Sujet: c h a r l i e - « she kicks ass » Sam 23 Juil - 22:45
CHARLIE O. SULLIVAN
It's better to burn out than to fade away
✣ Le prologue
► PRÉNOMS ET NOMS : Charlie Oksana Sullivan ► AGE : Vingt-quatre ans ► DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le cinq octobre à Omaha, Nebraska, US ► ORIGINES ET NATIONALITÉ : Origines ukrainiennes et nationalité américaine ► CARACTÈRES : Naturelle – Indépendante – Fière – Très caractérielle – Instable – Franche – Moqueuse – Très égoïste – Chiante – Colérique – Excessive – Impulsive – Jalouse – Rancunière – Cynique – Cinglante – Vive d'esprit – Battante – Fougueuse – Obstinée – Artiste – Passionnée – Rêveuse – Mystérieuse – Troublante – Charismatique – Délurée – Dépravée ► GROUPE: Humaine ► VOTRE AVATAR : Mila Kunis
✣ l'histoire
« Charlie ! Comment peux-tu être aussi odieuse ?!? » « Mes parents étaient très méchants »
Voix tremblante, petite moue d'une gosse de 5 ans et demi qui vient de faire tomber sa glace... Plan infaillible. C'est à cet instant que t'es sensé te laisser attendrir et prononcer un long 'oooooh' en hochant de la tête avec compassion.
La vérité ? Mes vieux étaient de vrais boyscouts. Bons voisins, parents aimants, très catho et remerciant chaque jour dieu pour la petite maison de banlieue dont ils étaient les heureux propriétaires. Si tu connais les séries type Dr Quinn ou – moins moyenâgeux – le navet 'Sept à la maison', félicitations : tu as tout compris. Mais dans leur relation passionnée avec le petit jésus, ce que préférait mes vieux, c'était le prier avec ferveur pour que leur fille – la dénommée moi – finisse par trouver sa place, joie, bonheur... et tout le tralala. L'ennui était qu'un détail aussi imposant qu'un hippopotame faisant du patin à glace leur avait échappé : je n'étais pas comme eux, et je ne partageais pas leur conception de ce que doit être une vie réussie. J'aurais voulu cramer la maison familial de style colonial, et même toutes celles du quartier, toutes alignées, proprettes et sans vrai signe de distinction. Mon grand frère n'était bon qu'à être maltraité. Et ce foutu labrador collant, je me serais fait une joie de l'écraser sous les roues du break de mon père.
J'ai pas franchement attendue la crise d'adolescence pour être une vraie révoltée. Je crois que je suis née en colère en fait. Ma seule satisfaction, je l'ai toujours puisée dans le malheur de mon prochain. Déjà gosse, bâtir des châteaux de sable au parc me faisait chier au plus haut point, et je préférais écraser gaiement celui du petit voisin mordu d'amour pour moi. Ainsi va la vie, des meufs naissent en étant de véritables pestes, sans rien pour le justifier. Pas de piètre éducation, pas d'oncle Peter pédophile, pas même un manque d'amour, pas de prédisposition à la con tirée de la génétique.
Et j'ai même réussi à avoir des tas de potes, t'as vu comme la vie est injuste ? Bon... clair que j'en changeais vite aussi. On sait tous comment ça se passe à cet âge-là, entre les 'je te parle plus', 't'es ma meilleure amie', 'c'est moi la reine du groupe'. J'avoue que j'adorais plus que tout avoir la place de celle qui commandait, le truc c'est que quand venait l'heure de la rotation inhérente à tout petit groupuscule social – de la révolte des petites abeilles si tu préfères ! – bah je frappais du poing...littéralement. Le seul avantage du benêt de grand frère, c'était que je savais me battre. Et puis merde, de quoi je me justifie ? Je suis du Nebraska et chaque habitant a chez lui pour se défendre un fusil de chasse caché dans le placard à côté de la Bible... alors pas besoin de m'enseigner quoi que ce soit.
Puis j'ai grandi, j'ai renoncé à me faire de vraies copines, on peut dire que de 'avant dernier de mes soucis' elles sont passées à 'dernier de mes soucis'. A l'avenir, les mecs devraient toujours passer avant elles. Mon premier petit-copain, j'ai oublié son nom mais je me souviens que je l'ai piqué à ma meilleure copine de l'époque. Et puis, tout le monde m'a dit que ça faisait traînée, je m'en suis pas vexée. Leçon apprise. Depuis, je serre mes meilleures amies dans les bras en les tapotant dans le dos, je leur murmure à l'oreille que je me réjouis de leur bonheur avec leur fiancé de tout mon petit cœur... et puis je couche avec dès que la voie est libre. Tss... je te vois venir : pourquoi Charlie, mais ô pourquoi vouloir s'envoyer en l'air avec autant de mecs ? Simple signe de domination. J'adore être la reine de la ruche, c'est comme ça... et le plus grand signe de puissance qu'on puisse espérer avoir un jour, c'est encore de faire bander les mecs. Quoi de mieux pour susciter jalousie, haine, crainte et respect de ses copines ? Je t'en prie, désactive ton mode 'je-crois-encore-au-père-noël' ...
C'est aussi pour ça que tu me verras jamais casée définitivement, pieds et mains liés à un crétin, mes jolis yeux verts crevés par la flèche du petit bibendum ailé. Question de principe. Les quelque fois où l'un d'eux a fait l'erreur de prononcer le mot 'exclusivité', 'fidélité' ou pire les trois mots soit-disant magiques, il a été accueilli par un petit pincement de joue accompagné d'un 'pauvre chou' et d'un léger rire destiné à le heurter au plus profond de sa fierté et de sa virilité. Ce sont que des instruments de pouvoir, tout au plus, pour les plus performants au pieu, une façon pour moi de réaliser mes fantasmes les plus fous... de vrais joujous...
Famille, copines d'un jour, coups d'un soir... attend voir, je crois que le compte y est ! Tout ce que mon existence comporte de plus insignifiant a été évoqué, on va enfin passer à ce qui compte le plus à mes yeux : la musique, la liberté et … hum … moi. Les meilleurs souvenirs que je conserve de mon adolescence, c'est ceux où je jouais de la guitare dans le garage des voisins. On avait fondé un groupe, juste pour s'amuser au début... et un peu aussi pour se la péter. Et pourtant, ça a été une révélation pour moi. Dès que j'allais me terrer là-bas, de la matinée jusque tard dans la nuit... je m'éclatais. Découvrir de nouvelles tonalités, composer, puis toucher d'autres instruments : piano, harmonica, même le chant façon American Idol... j'avais jamais été franchement douée en cours, mais ça, je le comprenais à une vitesse folle. Et on me vit bientôt en cours plus qu'avec un casque sur les oreilles, le cœur battant au rythme des riffs de Jimmy Hendrix. J'avais trouvé mon dieu, ma passion, mon bonheur... et c'était de ça dont je voulais faire ma vie. Mes vieux s'y opposèrent jamais, mais au fond, ils m'avaient jamais pris bien au sérieux non plus. En clair, ça leur faisait une très belle jambe.
D'ailleurs, on entrait dans l'époque où mon frère et moi, on était plus franchement le centre de leur petit monde. Jamais ils s'engueulaient devant nous, et pourtant alors que j'avais quatorze ans, ils nous ont balancé leur divorce à la gueule. Je me souviens de ce moment parce que, ce qui a suivi, je me suis dit que c'était le plus long silence que le monde ait jamais connu... La chute des sœurs jumelles à côté, c'était d'un joyeux ! Puis le bon dicton typique de tout film familial américain avait été lâché, tu sais le 'même si papa et maman ne s'aiment plus, ils aiment toujours leurs enfants'. Et le plus gerbant dans l'histoire, je crois que c'est qu'ils étaient sincères. Mes vieux s'aimaient plus, mais ils se respectaient tellement que ça en devenait flippant. Tu t'attendais peut être à des cris, à des assiettes dans la tronche, à un peu de drama quoi. Et bah non... divorce 'idéal', sans casse... rien qui puisse traumatiser un gosse. D'ailleurs, mon frère s'en branlait tellement... avec une tape dans le dos, il me déclara qu'il était content de se barrer chez papa pour plus voir ma gueule. Et, faut bien l'avouer, c'était plutôt réciproque. Moi ? Je restais vivre à Omaha avec ma mère. Et la vie poursuivait son cours...
Jusqu'à ce que l'année suivante, elle ramène son nouveau copain. Je me contrefoutais bien que mes vieux soient séparés, pourtant ce mec... je l'ai jamais senti. Trop gentil, trop niaiseux, ou peut-être juste trop gros – oé j'aime pas les gros, ils prennent trop de place – il était encore plus souriant que ma daronne alors ça foutait vraiment trop les jetons. Pas de vraies nouveautés. Je me suis toujours pris la tête avec tout le monde, ma mère la première avec qui j'ai jamais hésité à me montrer infecte pour des tas de conneries ; mais jamais on s'est autant disputées que pour ce type. Je lui criais qu'il était pas net. Et elle, elle répondait avec ses vieux arguments habituels que je vivais mal son divorce et d'autres merdes du genre. On se comprenait simplement pas. Deux mondes différents. Pourtant ce coup-ci, j'avais raison... je le voyais bien mater mes copines quand j'en ramenais à la maison, cet espèce de sale porc. C'est bien simple, du jour où j'ai eu des seins, je compte plus les fois où je l'ai vu me mater avec son regard dégueu quand je sortais de la piscine... même devant ma mère, trop aveugle, trop conne ou peut-être juste trop gentille pour comprendre le boulet qu'elle nous avait ramenées. Alors j'évitais autant que possible de traîner sous le même toit qu'eux, je me réfugiais plus que jamais chez mes copines et mes copains, où dans ma chambre, musique à fond. Et elle, elle persistait : crise d'adolescence, absence de figure paternelle. Mais quelle pute quand j'y repense.
Un jour où elle était pas là, et où il avait encore bu comme un trou – énième point sur lequel ma mère était plongée dans le déni – il m'a suivie jusque dans la cuisine en me lançant des saletés qui ferait même gerber la plus nympho des bimbos californiennes type Paris et Nicole. Je persistais à l'ignorer, à refouler cette foutue colère aussi profondément en moi que je pouvais, j'avais le pressentiment que ça finirait très mal. Et puis, il a voulu me toucher et je lui ai fracassé une bouteille sur la tête. C'est seulement quand il s'est écroulé que j'ai vu que se cachait derrière lui une autre personne. Non, non, rien de métaphorique. Une brunette se tenait littéralement derrière lui avec des yeux de vrais psychos. Je suis pas du genre à trembler à la moindre occas' mais là... c'était pas pareil. Elle s'est jetée sur lui dès que son crâne a heurté le sol. Et je me suis pas fait prier pour partir à toute vitesse, en grimpant les escaliers quatre marches par quatre marches et en foutant un bordel monstre derrière moi. Je sentais une présence dans mon dos, j'entendais quelqu'un courir sur mes talons. Sûrement le complice sociopathe de l'autre nécrophile qui avait sauté sur le corps inerte du beau papa. Et simplement, je me suis enfermée dans ma chambre et j'ai juste attendu... le cœur battant, les jambes cotonneuses, les mains agitées de tremblements jusqu'à réaliser à quel point j'avais pu être con. M'enfermer dans ma chambre ? Une pièce sans issue ? Et sans arme ? J'ai bondi sur ma batte de base-ball et j'ai attendu derrière la porte, rassemblant mon plus grand calme pour ne pas se laisser s'en tirer ces deux foutus cambrioleurs. Puis j'ai entendu un premier bruit sourd qui m'a arraché un sanglot, des murmures, des cris... et un vrai vacarme, comme si la maison était retournée ou bien... qu'il y avait un affrontement sanglant. J'ai pas bougé, j'ai attendu, la batte glissant dans ma main moite et me forçant à pas lâcher une seule larme. Je sais pas combien de temps s'est écoulé comme ça.
Et quand, après un long silence, la poignet de la porte a tournée dans ce que je me souviens être un horrible ralenti ; c'est ma mère que j'ai vu entrée. Pâle comme un linge, le pull baigné dans du sang, le regard vide. Elle m'a simplement annoncé « il est mort ». J'ai voulu la prendre dans mes bras, mais elle m'a repoussée en me foutant la gifle de ma vie. Et plus rien. J'avais perdu ma mère. Elle s'est mise à sangloter et à hurler comme jamais en m'accusant d'être folle, ingérable, de l'avoir assassiné, massacré, d'avoir déchiqueté son corps. J'ai nié que dalle. La pensée qu'il puisse pisser le sang par le crâne et crever en caleçon, sa graisse collée au carrelage... ça me laissait intact, ça me soulageait. Et j'avais pas envie de m'en cacher, et encore moins de m'excuser. Aussitôt la porte de ma chambre claquée et tandis qu'elle était partie vomir ses tripes tandis que des sirènes de police se faisaient entendre au loin, j'ai rassemblé quelques affaires à une vitesse folle et simplement, je me suis barrée par la fenêtre. Sans un seul regret. Pendant ce temps, la police concluait à un cambriolage qui avait mal tourné.
Après tout, peut-être que je suis vraiment odieuse. Mais qu'on me regarde comme un monstre me fait juste rire, je trouve que c'est là toute l'hypocrisie de l'être humain de vouloir nier qu'on a pas en nous cet instinct destructeur. Alors j'aime ce que je suis, j'aime mon égoïsme. Ne penser qu'à ma gueule m'a permis de m'arracher à une vie qui me convenait pas, ça m'a conduit sur toutes les routes des États-Unis, à traverser tous les États sans jamais m'arrêter, m'attacher à personne. Je me suis toujours débrouillée pour avoir du fric sans perdre ma dignité, parfois en volant, parfois en bossant, et quelquefois, bonheur suprême, en jouant de la musique.
✣ le joueur
► PSEUDO SUR LES FORUMS : Marie ► VOTRE AGE : Dix-neuf ans ► TON AVIS SUR DEADRINGER: Forum très soigné, trop jolie... qui donne juste trop envie quoi *.* ► PRÉSENCE SUR LE FORUM: Tous les jours sauf qu'en août, je suis en stage et ma présence sera donc un peu réduite ► GROUPE : Humains ► LE PETIT MOT DE LA FIN : Désolée pour le roman, promis, je suis pas aussi tarée en matière de RP ... ^^
Dernière édition par Charlie O. Sullivan le Dim 24 Juil - 15:33, édité 8 fois
Gaël-Emrys Grant
posts : 362 avatar : tom felton
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Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Sam 23 Juil - 22:46
bienvenue très chère. et avec mila, bon chois.
Micah E. Josephson
posts : 201 avatar : Amanda Seyfried
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Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Sam 23 Juil - 23:22
DIVINE MILA, j'ai hésité au début Bienvenue
Samuel E. Lancaster
posts : 742 avatar : Ian Somerhalder
Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Sam 23 Juil - 23:25
Wahou Mila est magnifique sur ton avatar (et en général aussi bien sur ) Bienvenue et bonne chance
Ruby Simms
posts : 432 avatar : Katie Cassidy
Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Sam 23 Juil - 23:31
Bienvenue (a)
Sam Winchester
posts : 1549 avatar : PADALECKI
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Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Sam 23 Juil - 23:38
MILAAAAAAAAAAAA Bienvenue divine demoiselle *out* Bonne chance pour ta fichette x)
Charlie O. Sullivan
posts : 587 avatar : mila kunis
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Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Sam 23 Juil - 23:48
Merci beaucoup !!! Que du beau monde et que du bel accueil !
Et Micah, on doit avoir les mêmes goûts en matière de vava parce que j'adore Amanda ! ^^
Pour ce qui est de ma fichette, c'est fait (a) Je suis pas folle, je l'avais juste préparée avant x')
Ishbel-Ysölde Ainsworth
posts : 105 avatar : nina dobrev
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Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Dim 24 Juil - 12:11
Bienvenue parmi nous avec la magnifique Mila
Charlie O. Sullivan
posts : 587 avatar : mila kunis
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Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Dim 24 Juil - 15:11
Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Dim 24 Juil - 15:17
Bienvenue parmi nous
Charlie O. Sullivan
posts : 587 avatar : mila kunis
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Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Dim 24 Juil - 17:05
Merci beaucoup ! Hâte de pouvoir RP
Jessica D. Mills
posts : 984 avatar : sarah michelle gellar
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Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Dim 24 Juil - 17:12
TA FICHE EST VALIDEE
Et bien ça y'est, tout y est. Que dire de plus sinon que je suis très content de pouvoir te valider et déplacer directement ta fiche dans le sujet adéquat. Tu as maintenant l'autorisation de poursuivre ta route sur DeadRinger, pour celà, rien de plus simple que ces quelques indications, indispensables :
♣ en premier lieu, tu as le devoir de faire recenser ton avatar en te rendant directement ici afin que nous puissions rajouter le nom de ta célébrité dans celles qui sont déjà prises sur le forum.
♣ je pense aussi qu'il serait bon pour toi d'aller lire les explications relatives à tes futurs rp ! tu l'auras remarqué, DeadRinger n'est pas un forum ordinaire et donc, il est important que tu comprennes la manière dont tu devras, à l'avenir, poster sur la partie RP.
♣ tu auras ensuite le loisir de créer, à ta guise, une partie liens ainsi que la première INTRIGUE. bien évidemment, la première partie n'est pas obligatoire et tu ne dois en aucun cas pas te sentir obligé d'y créer un sujet. si l'envie t'en prends, n'hésite cependant pas à le faire, c'est toujours pratique pour que les autres membres si retrouvent.
♣ tu as désormais le droit de venir nous rejoindre sur le flood ! une partie qui, j'en suis sur, va te plaire éonormément. tu verras, ici, on est tous un peu fada mais on n'est pas méchant.
En espérant sincèrement que le forum et l'ambiance de DeadRinger te plaisent, je te souhaite encore Charlie , une excellente bienvenue parmi nous !
- je reste à ta disposition en cas de problèmes -
Charlie O. Sullivan
posts : 587 avatar : mila kunis
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Sujet: Re: c h a r l i e - « she kicks ass » Dim 24 Juil - 17:43