Ça faisait déjà, quelques années, que sa seule raison d’exister était de chasser. Bien des choses avaient changé depuis cette époque d’innocence qu’était l’enfance; Elle n’était plus la même petite fille, aux cheveux d’or, qui autrefois ne faisait que ce soucier de sa propre existence. Elle n’était plus, cette petite fille, qui autrefois prenait pour acquis que la vie n’était pas tel les contes de fées autrefois racontés. Elle avait changé. Elle avait grandi. Elle avait appris, peut-être, trop rapidement, que la vie était parsemé d’obstacles et que certains obstacles seraient insurmontable, que certaines fois, il vaut mieux se résigner et ne pas chercher à se relever. Certes, après la mort de son père, elle aurait pu faire comme tous ses êtres humains qui s’enferment dans le deuil, dans les cris, dans les larmes et faire, comme tout le monde, son deuil. Pourtant, pour la jeune Woodburry, les pleurs, les cris ne résoudraient rien, pour elle, sa seule forme de deuil était de venger son père. En effet, elle ne vivait que pour retrouver cette créature et mettre fin à son existence. C’était son seul but. Ça raison d’exister, désormais. Et si, les choses auraient été plus facile, si elle se serait conformé à la perte de son père, pour une jeune demoiselle qui n’était pas prête à affronter une telle perte, il était plus facile pour elle, de chercher vengeance que se taire face à cette dure réalité; Dans cet univers où les humains devraient être les seuls maîtres, ils n’étaient pas seuls. Et au lieu, d’être des prédateurs, ils étaient des proies pour ses créatures. En l’espace de quelques secondes, le monde parfait, de la jeune Woodburry, s’était écrouler sans préavis. Rien, n’aurait pu, la préparer à de telles circonstances. Rien, n’aurait pu, la protéger de telles souffrances. Parce que, la perte d’un père, n’était pas la seule raison de son mal, elle devait, en plus de composer avec l’absence d’un père, affronter un monde qui n’était pas le sien, un monde où des créatures vivaient parmi les êtres humains, un monde qu’elle ne voulait pas connaître. Parce que, durant l’enfance, elle croyait dur comme fer que de telles créatures relataient de la fiction, mais elle avait eu tort et voilà, ce qui lui faisait du mal; Ne pas s’être rendu compte, plus tôt, de ce qui se tramait dans le noir.

Bref, ça faisait presque dix ans, que Aeysha chassait des créatures tel que les démons, les vampires. Dans l’immédiat, elle se retrouvait dans l’état d’Amérique. Ça faisait, peut-être, dans les alentours de deux semaines, qu’elle suivait à la trace, une créature; Un vampire. Finalement, elle s’était retrouvée ici, au Nevada. Elle venait de perdre la trace de cette créature et, elle espérait intérieurement, le retrouver, mais pour l’instant, elle s’était permise une pause, bien méritée. Assise dans un café, dans une table qui donnait vu sur l’extérieur, la jeune Woodburry buvait tranquillement un café au lait. Fixant son regard vers l’extérieur, elle était perdue dans ses pensées. Et même, dans ses instants de pauses, elle ne pouvait s’empêcher de penser à ses créatures vivantes parmi eux. Et alors, qu’elle continuait à boire, bien sagement son café, elle entendit la conversation de la table voisine; Deux femmes, âgées probablement dans la quarantaine, discutaient sur un meurtre qui semblait s’être produit la veille; Le corps, d’une femme, avait été retrouvé dépourvu de vie et de sang. Et alors, qu’elle croyait avoir perdu la trace de ce vampire, une lueur d’espoir finit par étinceler. Sans même prendre le temps de finir sa tasse de café, Aeysha sortit du petit café, direction sa voiture; Sans perdre un instant, elle conduit jusqu’à la forêt qui se trouvait à quelques heures de là.

Elle finit par arriver à destination et comme, elle se doutait, les policiers avaient installés un périmètre de sécurité pour éloigner les curieux, mais ce n’était pas un problème; Elle n’avait qu’à contourner ce périmètre pour accéder à la forêt. Marchant tranquillement, dans cette forêt silencieuse, à la recherche d’indice où bien de la créature elle-même, le silence régnait, de quoi, lui donner la chair de poule. Pendant des heures, elle chercha, en vain, des indices. Apparemment, la créature s’était évaporée et ça, ça avait le don de l’exaspérer. Elle voulait absolument trouver cette chose et mettre fin à son existence, car à défaut de ne pas trouver le coupable de la perte de son père, toute créature trouvée et tuée étaient une forme d’apaisement pour elle. Alors, que la lune venait de faire son apparition, que les étoiles étincelaient dans le ciel, elle allait se résigner à rentrer dans son motel, et puis, une envie lui parvint; Elle n’avait pas envie d’être seule, pas ce soir et elle savait parfaitement que Samuel se trouvait dans les parages. Ils s’étaient rencontré il y a quelque temps, lorsqu’ils furent confronté à un démon et depuis, disons que lorsque l’un a besoin de l’autre, que ce soit pour chasser où pour trouver de la chaleur, ils étaient là l’un pour l’autre. Ils se communiquaient, la plupart du temps, l’endroit où ils étaient et ce fut en sachant qu’il se trouvait dans un motel à Henderson, qu’elle se rendit à ce fameux motel.Il devait être approximativement trois heures du matin, lorsqu’elle se retrouva devant la chambre du jeune Lancaster. Elle frappa à la porte, trois fois, puis, elle attendit qu’il lui ouvre. Et après quelques secondes, la porte finit par s’ouvrir et d’un regard qui se voulait enjôleur, elle lui dit; « Je ne te dérange pas, j’espère? » Quelle question; Il devait probablement être en train de dormir, enfin, plus maintenant …

Spoiler:

aeysha m. Woodburry && samuel e. lancaster

❝ i miss everybody today. but i find you now ❞

Je me demandais chaque jour un peu plus pourquoi j'avais accepté que cette pimbêche me suive dans mes aventures. Il n'y avait pas un seul instant sans qu'elle ne fasse une réflexion, nous étions partis pendant la journée pour rassembler des informations sur certains meurtres qui avaient été commis ces derniers temps à Henderson. Des morts suspectes avaient eu lieu dans cette ville et je voulais en savoir plus mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle me demande de venir avec moi pour faire l'enquête. Je ne comprenais pas pourquoi elle ressentait tant ce besoin de me suivre, il n'y avait rien de bien excitant pour elle et je n'arrêtais pas de lui répéter mais rien n'y faisait elle était toujours derrière moi comme si sa préoccupation première était de rester à mes côtés. Mais il ne fallait pas trop rêver, cela aurait été trop beau pour être vrai, la raison devait être toute autre et très simple, elle avait juste envie de me pourrir la vie le plus longtemps possible mais je ne savais pas pourquoi elle s'attaquait à moi pour autant. Cela ne faisait pas vraiment longtemps que je l'avais auprès de moi mais j'avais déjà l'impression que cela faisait une éternité qu'elle accompagnait mes journées. Je ne saurais vraiment dire à quel moment j'ai commencé à regretter de l'avoir à mes côtés mais je me souviens que je ne mis pas beaucoup de temps avant de ressentir ce sentiment. Même si j'avais la plupart du temps une vie de solitaire j'avais tout de même une légère poignée d'amis et depuis qu'elle était là il était impossible pour moi de les voir, pas qu'elle ne ferait pas preuve de courtoisie envers les autres personnes si mes amis venaient – bien que je ne doute pas que juste pour un peu plus m'énerver elle serait capable de les faire fuir – mais surtout parce que je n'avais pas envie de leur présenter la personne qui passe ses nuits avec moi, enfin je veux dire celle qui dort sur le lit à côté du mien dans ma chambre d'hôtel. Enfin bref, je m'égare du sujet, nous avions passé la journée à passer dans les familles des victimes prétextant vouloir un supplément d'information mais aucun des membres de la famille n'était capable de nous renseigner avec précision sur les derniers événements de la vie de leur enfant ou ami.

Ne voulant pas me décourager, nous avions donc tenté une dernière étape à la morgue afin d'inspecter les corps et malheureusement, je n'avais pas prévu les couvertures suffisantes pour pouvoir y entrer sans problème. Alors que j'étais en train de réfléchir à comment nous allions pouvoir réussir à entrer dans la chambre froide, je vis mon ''acolyte'' partir en direction du jeune stagiaire qui était seul à surveiller l'entrée de la salle. Alors qu'elle le … distrayait du mieux qu'elle pouvait je me faufilais sans aucun problème dans la salle et commençais à observer les différentes marques sur les corps. On pouvait y voir différentes marques de mutilations comme si on s'était amusé à les torturer avant de mettre fin à leur jour. Ce n'avait pas été une mort rapide ou la personne a à peine le temps de se rendre compte de ce qu'il lui arrive loin de là. J'avais bien à faire à un ennemi sadique qui préfère la souffrance morale et voir la peur sur le visage de sa victime qui sait qu'elle va inéluctablement finir par mourir dans des souffrances atroces. Alors que je commençais à me dire que peut être ces morts n'avaient rien de surnaturel je remarquai des marques de morsures profondes dans le coup de quatre des victimes qui avaient attiré mon attention, la dernière étant sûrement la victime d'un gang qui s'était amusé à le tabasser à mort. Je ressortis à nouveau de la salle sans me faire voir et attendis Ishbel dans la voiture qui était garée devant le bâtiment officiel.

C'est ce moment qu'elle choisit pour me faire encore des réflexions « Franchement j'en reviens même pas que tu sois nul au point de ne pas penser à ce genre de stratagème. » « Bon c'est bon Ishbel commence pas à me chercher » « Bien sur comme si tu étais capable de faire quelque chose. » J'en avais assez de ses revendications et je stoppai net la voiture en lui disant de sortir et que je préférais qu'on ne reste pas ensemble ce soir là. Je fis un léger détour par un bar afin d'y boire un whisky mais après avoir bu mon verre je me rendis compte que ma ''colocataire'' y était aussi et qu'apparemment elle était là pour un certain temps vu comme elle était entourée par des hommes et de l'alcool. Sans savoir pourquoi cette vision d'elle me déplut, et je ressentis comme un léger pincement au cœur. Je rentrais au motel afin de me mettre rapidement au lit pour ne pas à la voir arriver tard dans la nuit. Il ne me fallut pas longtemps avant de m'endormir, je n'avais pas beaucoup dormi ces dernières nuits et j'avais besoin de récupérer.

Pourtant mon sommeil allait être de courte durée, puisqu'environ une petite heure après m'être couché j'entendis du bruit devant ma porte et quelqu'un frappa à celle ci, je pensais instinctivement que c'était Ishbel qui avait oublié la clef de la chambre et qui n'arrivait pas à rentrer mais lorsque j'ouvris la porte je tombai nez à nez avec Aeysha, une fille que j'avais rencontré quelques mois avant que j'appréciais et avec qui je m'accordais parfois du bon temps, et sans même avoir envie de ça réellement, cela me faisait vraiment beaucoup de bien de voir un autre visage que celui de ma chipie de coéquipière. « Je ne te dérange pas, j’espère? » je souris en la voyant et lorsqu'elle me dit cela, cela faisait quelques temps que je ne l'avais pas vu en plus et je devais avouer que c'était une agréable surprise. « Non pas du tout, tu veux entrer peut être ? » je bénis le ciel tout à coup de ne pas avoir Ishbel avec moi ce soir là, même si je devais avouer que cela me fit un effet bizarre d'avoir quelqu'un d'autre qu'elle avec moi, sensation que je me dépêchais de faire disparaître en laissant entrer Aeysha.

Elle aurait pu, comme tout le monde, avoir une vie normal ; Elle aurait pu exercer le métier de médecin où même d'avocat, mais au lien de ça, au lieu de décider de vivre dans la tranquillité, Aeysha avait décidé de mener une vie mouvementée , une vie que des fois, elle regrettait d'avoir choisi. Pourtant, elle avait l'impression de ne pas avoir eu le choix, de choisir. Elle n'avait pas décidé de devenir chasseuse. Elle n'avait pas souhaité le devenir, mais les circonstances de la vie, l'avait forcé à aller dans se sens. Parce que, la mort d'un père était très difficile à encaisser, parce que , à seize ans, nous ne sommes guère prêt à faire nos adieux à un être aimé, parce que, elle n'était pas prête à laisser s'envoler cet ange, pour toute ses raisons, elle était devenu ce qu'elle était ; Une chasseuse. Et si, des fois, elle regrettait de ne pas être restée au près de sa mère, dans ce village qui était le sien, aujourd'hui, malgré ses remords, elle ne pouvait guère revenir en arrière. Ça faisait, neuf ans, presque dix ans, qu'elle menait se train de vie ; Elle traquait, trouvait et finalement, tuait. Elle ne restait jamais, bien longtemps, dans le même endroit ; Elle n'avait pas le temps, comme tout les êtres humains normaux, d'avoir une vie sociale. Et des fois, elle regrettait ça ; Des fois, Aeysha regrettait de ne pas être comme tous ses êtres humains.

Bref, et si, elle ne faisait pas la connaissance de beaucoup de personnes, il ne restait pas moins qu'elle connaissait , certaines personnes , pour la plupart tous des chasseurs tel que Samuel. La plupart du temps, elle ne s'entendait pas bien avec les chasseurs, va savoir pourquoi, mais avec lui, elle s'entendait bien voir très bien.Et , c'était, parce qu'elle n'avait rien à faire et parce qu'elle ne voulait guère rentrer dans son motel, miteux, qu'elle décida de faire un visite à ce cher Samuel, une visite nocturne. Bien sûr, elle se doutait bien, qu'à cet heure , il devait bien être en train de dormir, mais le connaissant, Aeysha savait bien, qu'il ne serait pas bien en colère si il se faisait réveiller par elle. Ce n'était pas, son genre de se fâcher, elle le savait bien, quoi que, dépendant des situations, ça devait bien lui arriver.

Enfin bref, alors qu'elle attendait patiemment devant la porte, cette dernière finit par s'ouvrir, laissant paraître au passage un Samuel qui venait de se faire réveiller par une méchante Aeysha et pourtant, malgré ça, il gardait toujours le sourire, ce qu'il avait le don de le rendre irrésistible, enfin bref, elle pensait ça, elle pensait rien. Samuel l'invita donc à rentrer, ce qu'elle fit bien sûr. Lorsque Aeysha rentra dans la chambre, elle put rapidement constater qu'il y avait deux lits, gardant ce constat pour elle, du moins pour l'instant, elle s'installa sur l'un des lits, coucher sur le ventre, le haut du corps levé, de manière à regarder le bel apollon, un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres ;Et puis , non, elle ne pouvait guère garder ce constat plus longtemps. Curieuse, comme elle seule pouvait l'être, elle lui dit; « Tu sembles avoir de la compagnie, apparemment?» Dit-elle, en désignant du regard, le deuxième lit, elle poursuivit en disant ; « Je la connais ?» Elle supposait, que c'était une fille, parce que, Samuel c'est un homme alors hein … Ça lui semblait peu probablement qu'il se tienne en compagnie d'un gars, quoi que … Bref. C'était assez surprenant de constater qu'il avait de la compagnie. D'habitude, les chasseurs étaient plus tôt solitaire ...

aeysha m. Woodburry && samuel e. lancaster

❝ i miss everybody today. but i find you now ❞

Mes interrogations de ces derniers temps sur ce monde qui m'entoure ne cessait jamais, il y avait toujours quelque chose qui me ramenait à ce monde qui en effrayait plus d'un. Lorsque je me couchais le soir je revoyais les événements passés, je repensais à Cassandre, aux moments passés avec elle, ceux qui m'avaient fait rire, qui m'avaient fait me sentir bien dans des moments douloureux mais plus que tout je revoyais cette nuit, cette dernière nuit où j'avais assisté à la mort de la femme que j'aimais. Je détestais lorsque le moment était venu de me coucher, j'étais incapable de me coucher avec l'esprit serein sans que ce genre d'images ne reviennent à mon esprit. Des cauchemars hantaient mes nuits sans que je ne puisse avoir aucune emprise sur les faits et gestes que je faisais dans ces décors illusoires qui me rappelaient étonnamment de mauvais souvenirs. Lorsque j'entendis que l'on frappait à la porte j'étais soulagé de me voir extirpé de mes mauvais rêves. Ce fut une bonne surprise en ouvrant la porte car je m'attendais à voir Ishbel et je savais que j'allais encore me prendre la tête si elle se trouvait derrière la tête. Je ne saurais pas expliquer pourquoi nous nous engueulons tout le temps mais c'est un fait, nous sommes toujours comme chien et chat. Mais en voyant Aeysha sur le pas de ma porte je pensais que ma soirée n'allait pas être remplie de cris et de réflexions en tout genre, je pensais même que je n'allais pas avoir à penser à ma nouvelle partenaire de route mais c'était sans compter sur la nature humaine qui nous pousse toujours à nous poser des questions lorsqu'on ne comprend pas très bien ce qu'il se passe. Après tout, la dernière fois que j'avais vu mon ami j'étais seul et je n'avais pas l'intention de me remettre à voyager avec quelqu'un et voilà qu'elle me voyait à peine un petit mois après avec les affaires d'une autre personne dans ma chambre. « Tu sembles avoir de la compagnie, apparemment?» je haussais les épaules, je ne qualifiais même pas vraiment Ishbel comme une réelle compagnie, enfin si, elle était une présence, une personne avec qui parler le soir mais rien de comparable à ce que l'on pourrait appeler une amie avec qui l'on peut parler de tout et de rien. En fait les seules conversations que j'avais avec elle était des paroles à propos des chasses, de mes façons de faire et des réflexions comme quoi elle était beaucoup plus douée que moi. « Oui mais elle est pas là ce soir, on s'est disputé … encore et elle est partie. Donc on est tranquille. »

Je ne voulais même pas imaginer ce que pourrait dire ma voisine de chambre si elle voyait que je pensais à autre chose que ma mission, que je me laissais distraire par de telles futilités. Par moment je me demandais si elle ne se prenait pas pour ma mère. « Je la connais ? » je ne me doutais pas qu'elle pourrait être intéressée par ce genre d'informations, après tout je ne voyais pas pourquoi elle posait cette question, peut être que cela la dérangeait que je vive avec une femme, cette idée traversa mon esprit mais repartit aussitôt parce que je ne voyais pas pourquoi cela pourrait bien la déranger. « Euh non je ne crois pas, mais comment tu sais que c'est une fille ? » Après tout, il n'y avait qu'un sac posait sur le lit d'à côté, aucune affaire qui laissait supposer que j'habitais maintenant avec une fille. Puis finalement je me rendais compte que la conversation était en train de tourner autour d'Ishbel et je n'avais pas vraiment envie de passer encore une soirée à penser à elle. Sans vraiment comprendre pourquoi je passais mon temps à penser à elle et je n'en avais vraiment pas envie. « Enfin, tu as vraiment envie de parler de ma ''colocataire'' toute la nuit ? » Finis-je par lui dire avec un sourire en coin..

Spoiler: